1 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
1 ues désespéraient leurs étudiants en demandant si Dieu , dans sa Toute-Puissance, avait le pouvoir de créer une pierre si lou
2 telles atrocités sont possibles, il n’y a pas de Dieu  » ou « En face de telles atrocités, Dieu seul peut sauver le sens de
3 a pas de Dieu » ou « En face de telles atrocités, Dieu seul peut sauver le sens de la vie7. » Croissance urbaine : on ne
4 és, nous avons perdu l’insouciance des enfants de Dieu , et nous nous sommes chargés de l’écrasant devoir de choisir notre av
5 ominante28, demi-dieu ou seulement « à l’image de Dieu  » — que de disposer d’une puissance aussi fondamentale que le feu. Ca
6 2. 27. Sur la Sophia aeterna, co-éternelle avec Dieu (correspondant à Athéna épouse de Zeus), vénérée par tous les gnostiq
7 rt auf Hiob, Rascher Verlag, Zurich, 1963. 28. «  Dieu créa l’homme à son image, il créa l’homme et la femme. Dieu les bénit
8 l’homme à son image, il créa l’homme et la femme. Dieu les bénit et leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la Terr
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
9  ; alors, enfin, que l’institution de la Trêve de Dieu interdisait la guerre en temps de récoltes, par exemple (et en plusie
10 lleur de subventions ou d’adjudications juteuses. Dieu ou tyran, hors de nous, contre nous : il n’est plus du tout notre aff
3 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Naissance de la prospective
11 où l’on ne voit plus de Temple « car la gloire de Dieu l’éclaire ». Là va régner à jamais « Celui qui fait toutes choses nou
12 pour avouables devant la société, nous-mêmes, ou Dieu . Mais il y a tous les autres désirs, les plus nombreux, qui se trahis
4 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Première histoire de fous : l’auto
13 le grâce ? un peu de cette connaissance active de Dieu que nos savants nomment mysticisme et considèrent comme un “cas” très
14 ce côté. Mais du nôtre ? » “Vous ne pouvez servir Dieu et Mammon”, dit l’Écriture. » Je ne pense pas qu’une attitude réactio
5 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Deuxième histoire de fous : Hitler
15 pective — le grand réveil, la réconciliation avec Dieu , l’homme et la nature, et la cité nouvelle dont ils donnent les mesur
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Devenir soi-même
16 pas la rébellion d’une liberté brimée, qui défie Dieu ou le destin. Que l’avenir humain soit notre affaire n’implique pas q
17 illiards. Pratiquement nulles. Or, pour aller à «  Dieu  », au but ultime de son être, chacun part d’une réalité sans précéden
18 si celui de tous les autres. « Chacun pour soi et Dieu pour tous » dans le sens littéral et fort de l’expression, devient ai
19 onsable du monde qu’il a fait. Comme Adam lorsque Dieu l’interpelle ; il se cache, il n’est plus personne, il n’est plus là…
7 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
20 ée par rien au monde, si ce n’est la « volonté de Dieu  », dont on nous déclare aussitôt que le souverain seul est l’interprè
21 Il prend les attributs de l’absolu, devient comme Dieu son propre référentiel, index sui et falsi. Parce que ces phrases rep
22 tructures de l’expression du divin chez Pascal («  Dieu seul parle bien de Dieu »), chez saint Jean de la Croix, et chez sain
23 n du divin chez Pascal (« Dieu seul parle bien de Dieu  »), chez saint Jean de la Croix, et chez saint Paul lui-même, elles m
8 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
24 ue sur le trône papal pour peu de temps), Amis de Dieu disciples de Suso : ils traversent l’Europe en cortèges de pèlerins c
25 xve siècle, Nicolas de Flue, affilié aux Amis de Dieu , jouera ce rôle pour les Suisses. Jeanne d’Arc était peut-être une bé
9 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
26 ière à remplir l’Hexagone, forme idéale créée par Dieu , par la Raison ou par la nature, selon les écoles successives d’idéol
10 1977, L’Avenir est notre affaire. Conclusion. « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? »
27 le exalte en revanche « la liberté des enfants de Dieu  ». Si l’on exclut de la « sphère du religieux » le drame de l’humanit