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ues désespéraient leurs étudiants en demandant si
Dieu
, dans sa Toute-Puissance, avait le pouvoir de créer une pierre si lou
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telles atrocités sont possibles, il n’y a pas de
Dieu
» ou « En face de telles atrocités, Dieu seul peut sauver le sens de
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a pas de Dieu » ou « En face de telles atrocités,
Dieu
seul peut sauver le sens de la vie7. » Croissance urbaine : on ne
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és, nous avons perdu l’insouciance des enfants de
Dieu
, et nous nous sommes chargés de l’écrasant devoir de choisir notre av
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ominante28, demi-dieu ou seulement « à l’image de
Dieu
» — que de disposer d’une puissance aussi fondamentale que le feu. Ca
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2. 27. Sur la Sophia aeterna, co-éternelle avec
Dieu
(correspondant à Athéna épouse de Zeus), vénérée par tous les gnostiq
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rt auf Hiob, Rascher Verlag, Zurich, 1963. 28. «
Dieu
créa l’homme à son image, il créa l’homme et la femme. Dieu les bénit
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l’homme à son image, il créa l’homme et la femme.
Dieu
les bénit et leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la Terr
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; alors, enfin, que l’institution de la Trêve de
Dieu
interdisait la guerre en temps de récoltes, par exemple (et en plusie
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lleur de subventions ou d’adjudications juteuses.
Dieu
ou tyran, hors de nous, contre nous : il n’est plus du tout notre aff
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où l’on ne voit plus de Temple « car la gloire de
Dieu
l’éclaire ». Là va régner à jamais « Celui qui fait toutes choses nou
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pour avouables devant la société, nous-mêmes, ou
Dieu
. Mais il y a tous les autres désirs, les plus nombreux, qui se trahis
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le grâce ? un peu de cette connaissance active de
Dieu
que nos savants nomment mysticisme et considèrent comme un “cas” très
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ce côté. Mais du nôtre ? » “Vous ne pouvez servir
Dieu
et Mammon”, dit l’Écriture. » Je ne pense pas qu’une attitude réactio
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pective — le grand réveil, la réconciliation avec
Dieu
, l’homme et la nature, et la cité nouvelle dont ils donnent les mesur
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pas la rébellion d’une liberté brimée, qui défie
Dieu
ou le destin. Que l’avenir humain soit notre affaire n’implique pas q
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illiards. Pratiquement nulles. Or, pour aller à «
Dieu
», au but ultime de son être, chacun part d’une réalité sans précéden
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si celui de tous les autres. « Chacun pour soi et
Dieu
pour tous » dans le sens littéral et fort de l’expression, devient ai
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onsable du monde qu’il a fait. Comme Adam lorsque
Dieu
l’interpelle ; il se cache, il n’est plus personne, il n’est plus là…
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ée par rien au monde, si ce n’est la « volonté de
Dieu
», dont on nous déclare aussitôt que le souverain seul est l’interprè
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Il prend les attributs de l’absolu, devient comme
Dieu
son propre référentiel, index sui et falsi. Parce que ces phrases rep
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tructures de l’expression du divin chez Pascal («
Dieu
seul parle bien de Dieu »), chez saint Jean de la Croix, et chez sain
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n du divin chez Pascal (« Dieu seul parle bien de
Dieu
»), chez saint Jean de la Croix, et chez saint Paul lui-même, elles m
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ue sur le trône papal pour peu de temps), Amis de
Dieu
disciples de Suso : ils traversent l’Europe en cortèges de pèlerins c
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xve siècle, Nicolas de Flue, affilié aux Amis de
Dieu
, jouera ce rôle pour les Suisses. Jeanne d’Arc était peut-être une bé
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ière à remplir l’Hexagone, forme idéale créée par
Dieu
, par la Raison ou par la nature, selon les écoles successives d’idéol
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le exalte en revanche « la liberté des enfants de
Dieu
». Si l’on exclut de la « sphère du religieux » le drame de l’humanit