1 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
1 aît toute parcourue d’adorables roseurs boréales. E. T. A. Hoffmann est là, sous un nom d’emprunt. Une femme fatale et un grand incompris
2 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
2 icité ineffable de la vie supérieure » dont parle E. T. A. Hoffmann  ; mais plutôt cet amour « taciturne et toujours menacé » des plus bea
3 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
3 main d’en haut brasse-t-elle les cartes ? » Déjà E. T. A. Hoffmann insinue la réponse : « Et si un principe spirituel étranger à nous-mê
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
4 icité ineffable de la vie supérieure » dont parle E. T. A. Hoffmann  ; mais plutôt cet amour « taciturne et toujours menacé » des plus bea
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
5 icité ineffable de la vie supérieure » dont parle E. T. A. Hoffmann  ; mais plutôt cet amour « taciturne et toujours menacé » des plus bea