1 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. V. Les étymologies
1 l’Arip, mot que l’on doit mettre à côté du sombre Erèbe de la mythologie grecque. En effet, ne pouvant pas déplacer encore da
2 et Europe : On a cessé de croire à la parenté d’ Erèbe et d’Europe, par quoi entendre une parenté directe, comme celle du fr
3 ne », le Sommeil, les Songes ; mais enfin, de son frère Erèbe lui-même, l’Éther et la Lumière du jour, cette lumière victorieuse qu
4 ictorieuse qui naît de la nuit pour la tuer. Puis Erèbe prit un sens dérivé : les profondeurs ténébreuses sous la terre, le «
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
5 sémitique : On a cessé de croire à la parenté d’ Erèbe et d’Europe, par quoi entendre une parenté directe, comme celle du fr
6 ne », le Sommeil, les Songes ; mais enfin, de son frère Erèbe lui-même, l’Éther et la Lumière du jour, cette lumière victorieuse qu
7 ictorieuse qui naît de la nuit pour la tuer. Puis Erèbe prit un sens dérivé : les profondeurs ténébreuses sous la terre, le «