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monde, à savoir Dieu ». Ces derniers mots sont d’
Ernest Ansermet
, dans le grand livre où il démontre, en somme, qu’un athée ne peut pa
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revues d’avant-garde parisiennes : faut-il brûler
Ernest Ansermet
? Nul doute que la Genève de Calvin l’eût accusé de parler comme un a
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immanent, qui s’annonce en leur cœur” (À propos d’
Ernest Ansermet
) », Journal de Genève, Genève, 9–10 novembre 1963, p. III.
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isch pour le théâtre, d’un chef d’orchestre comme
Ernest Ansermet
, d’un historien de l’art comme Wölfflin. Sans oublier le grand clown
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res parfois très réputés, comme ceux que dirigent
Ernest Ansermet
à Genève et Paul Sacher à Bâle. À cette vie musicale intense durant t
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berjonois, maître raffiné du naïf, la direction d’
Ernest Ansermet
qui venait de se révéler comme chef d’orchestre des ballets de Diaghi
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e dans le monde, à savoir Dieu », comme l’écrit
Ernest Ansermet
dans ses Fondements de la musique.) Et il n’est pas sans intérêt de r
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r Arthur Honegger, elles furent sa musique. 3.
Ernest Ansermet
, Les Fondements de la musique dans la conscience humaine, tome I, p.
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Bondy, Merleau-Ponty, Robert Aron, Maurice Druon,
Ernest Ansermet
, Campagnolo36, Jean Wahl et Jean Starobinski. Il s’agit de la premièr
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Bondy, Merleau-Ponty, Robert Aron, Maurice Druon,
Ernest Ansermet
, Jean Wahl et Jean Starobinski. Il s’agit de la première confrontatio
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unté sa prière favorite, le fameux Gebetlein. 2.
Ernest Ansermet
, Les Fondements de la musique dans la conscience humaine, Tome I, p.
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terventions de Carlo Schmid, d’Alberto Moravia, d’
Ernest Ansermet
, du Vice-Chancellor d’Oxford, de Raoul Dautry, haut-commissaire à l’é