1 autre exemple de cette espèce d’idolâtrie. 21. Ernest Renan , Histoire du peuple d’Israël, t. II, p. 265. 22. « L’embarras de l’h

2 bilités immédiates. (D’ailleurs en vain.) C’est à Ernest Renan que nous devons la résurrection de ce projet, enterré pendant cinq si

3 et à sa science, il se rend maître du monde.244 Ernest Renan (1823-1892) lui aussi vit dans un univers spirituel et historique où

4 lution, Jacob Burckhardt, mais aussi Dostoïevski, Ernest Renan mais aussi Nietzsche, prédisent le pire. Nietzsche écrit dans la Volo

5 vre II, chap. VI, trad. d’Arnaud d’Andilly. 12. Ernest Renan , Histoire du peuple d’Israël, t. II, p. 265. 13. « L’embarras de l’h

6 rs leur crépuscule. Dès la fin du siècle dernier, Ernest Renan pouvait s’écrier dans un discours célèbre, à la Sorbonne20 : Les nat

7 croyance. Bien sûr, dès la fin du siècle dernier, Ernest Renan s’était écrié dans un discours célèbre à la Sorbonne : Les nations n

8 croyance. Bien sûr, dès la fin du siècle dernier, Ernest Renan s’était écrié dans un discours célèbre à la Sorbonne : « Les nations

9 croyance. Bien sûr, dès la fin du siècle dernier, Ernest Renan s’était écrié dans un discours célèbre à la Sorbonne : Les nations n

10 de Nietzsche, de Proudhon, de Jacob Burckhardt, d’ Ernest Renan et de Dostoïevski donnent une juste idée de la profondeur et de l’uni

11 de Nietzsche, de Proudhon, de Jacob Burckhardt, d’ Ernest Renan et de Dostoïevski donnent une juste idée de la profondeur et de l’uni

12 l’histoire : car, ainsi que l’écrivait vers 1880 Ernest Renan dans un discours à la Sorbonne intitulé Qu’est-ce qu’une nation ? : «