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n’est-il pas trop tard pour parler du Vinet de M.
Seillière
, de ce nouveau chapitre qu’il vient d’ajouter à sa grande étude sur l
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r les rapports du christianisme et du romantisme.
M. Seillière
cherchait dans l’époque romantique un témoin dont le jugement eut « l
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sticisme protestant. Et cela n’est pas sans gêner
M. Seillière
. C’est peut-être pourquoi il insiste sur le fait que Vinet se déclara
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de peu d’importance si l’on songe au service que
M. Seillière
nous rend en réintroduisant dans l’actualité la plus brûlante les ric
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dre solidement moral, c’est-à-dire rationnel, dit
M. Seillière
— me paraît infiniment plus forte que celle d’un Maurras ou que celle