1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ernest Seillière, Alexandre Vinet, historien de la pensée française (octobre 1925)
1 n’est-il pas trop tard pour parler du Vinet de M. Seillière , de ce nouveau chapitre qu’il vient d’ajouter à sa grande étude sur l
2 r les rapports du christianisme et du romantisme. M. Seillière cherchait dans l’époque romantique un témoin dont le jugement eut « l
3 sticisme protestant. Et cela n’est pas sans gêner M. Seillière . C’est peut-être pourquoi il insiste sur le fait que Vinet se déclara
4 de peu d’importance si l’on songe au service que M. Seillière nous rend en réintroduisant dans l’actualité la plus brûlante les ric
5 dre solidement moral, c’est-à-dire rationnel, dit M. Seillière — me paraît infiniment plus forte que celle d’un Maurras ou que celle