1
sent suffisamment la cause commune de la jeunesse
européenne
. L’humanisme n’est rien s’il n’est commun comme le péril qui nous men
2
France se voit à peu près seule à défendre dans l’
Europe
d’aujourd’hui ? Dictature de la liberté f, proclamera la suite de La
3
s et théocratiques » qui montent à l’assaut d’une
Europe
décadente, il ajoutait ces quelques phrases d’une sobre grandeur : E
4
t pas notre faute si, pour sauver l’Occident et l’
Europe
, nous devons d’abord, aujourd’hui, nous appuyer sur la France. Il ne