1 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
1 berté. Mon premier livre dit assez mon amour de l’ Europe centrale ; et mon deuxième, l’idée que je me fais des régimes totalit
2 u au régime de Weimar. Il n’y a sans doute pas en Europe de classe plus indifférente à la vie politique, plus passive vis-à-vi
3 e viens de parler se confond presque avec le type européen du libéral. Il en est d’autres (on le prétend), qui sont devenus marx
4 les clauses du Diktat, l’état démographique de l’ Europe centrale, le rôle des camps de travail dans la création d’une éthique
5 guerre. Et quand je vous dis que c’est un danger européen , vous le niez, avec une sincérité que je ne puis mettre en doute, mai
6 e temps, celle qui s’impose déjà à la moitié de l’ Europe , et qui demain la dominera ? Si le régime totalitaire est le châtimen
7 régime totalitaire est le châtiment qu’a mérité l’ Europe , si plus rien ne peut s’opposer à son triomphe tôt ou tard, il nous f
2 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
8 et socialisme) d’une maladie aussi vieille que l’ Europe , et qui est sa P. G. politique. Ainsi l’État devient l’expression uni
9 ses avant 1933, les circonstances politiques de l’ Europe , le traité de Versailles, la décomposition des gauches, le double jeu
3 1938, Journal d’Allemagne. Les jacobins en chemise brune
10 stituent pratiquement un frein pour la révolution européenne . C’est de la part de ceux qui l’inventèrent que l’Europe attend le dé
11 C’est de la part de ceux qui l’inventèrent que l’ Europe attend le dépassement de l’étatisme centralisateur. Tant que ce dépas
12 de nos libertés civiques à venir, mais de la paix européenne . Car il est clair que la menace de guerre se confond actuellement ave