1
Paris est détruit, j’en perdrai le goût d’être un
Européen
. La Ville Lumière n’est pas détruite : elle s’est éteinte. Désert de
2
manifeste de l’Oxford Group, largement répandu en
Europe
, et qui s’intitulait non sans une curieuse présomption : « Nous somme
3
ions le perdent à coup sûr. Je parle ici comme un
Européen
qui a vu de près des phénomènes bizarres de désintégration démocratiq
4
des leçons claires qui se dégagent des événements
européens
me paraît être celle-ci : la haine purement sentimentale du mal qui e
5
t aux troubles révolutionnaires qui marquaient en
Europe
l’irruption du libéralisme, du capitalisme et du nationalisme. Lui se
6
’ailleurs toute l’instabilité. La population de l’
Europe
a plus que doublé en cent ans ; ses richesses ont été décuplées ; sa
7
nière, celle des relations de l’Allemagne et de l’
Europe
, ou d’une masse quelconque et du Prince. Ou encore, elle figure le co