1 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
1 Paris est détruit, j’en perdrai le goût d’être un Européen . La Ville Lumière n’est pas détruite : elle s’est éteinte. Désert de
2 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
2 manifeste de l’Oxford Group, largement répandu en Europe , et qui s’intitulait non sans une curieuse présomption : « Nous somme
3 ions le perdent à coup sûr. Je parle ici comme un Européen qui a vu de près des phénomènes bizarres de désintégration démocratiq
4 des leçons claires qui se dégagent des événements européens me paraît être celle-ci : la haine purement sentimentale du mal qui e
3 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
5 t aux troubles révolutionnaires qui marquaient en Europe l’irruption du libéralisme, du capitalisme et du nationalisme. Lui se
6 ’ailleurs toute l’instabilité. La population de l’ Europe a plus que doublé en cent ans ; ses richesses ont été décuplées ; sa
7 nière, celle des relations de l’Allemagne et de l’ Europe , ou d’une masse quelconque et du Prince. Ou encore, elle figure le co