1
t le Moyen Âge, il terrorise les populations de l’
Europe
christianisée. Les moines font autant pour sa gloire que les rabbins
2
élucider. Replaçons-nous dans la situation de l’
Europe
à la veille de sa grande catastrophe. La question qui se posait alors
3
ait le sens et le prix. De même Hitler, battant l’
Europe
entière, n’a jamais pu jouir de sa victoire. Gagnant tout, il n’a rie
4
Paris est détruit, j’en perdrai le goût d’être un
Européen
. La Ville Lumière n’est pas détruite : elle s’est éteinte. Désert de
5
manifeste de l’Oxford Group, largement répandu en
Europe
, et qui s’intitulait non sans une curieuse présomption : « Nous somme
6
ions le perdent à coup sûr. Je parle ici comme un
Européen
qui a vu de près des phénomènes bizarres de désintégration démocratiq
7
des leçons claires qui se dégagent des événements
européens
me paraît être celle-ci : la haine purement sentimentale du mal qui e
8
de pensée et de vie qu’ils venaient de perdre en
Europe
pour en avoir abusé sans plaisir. On s’en voudrait de commenter une s
9
rd du navire : nous approchons d’Ellis Island. En
Europe
et dans les deux Amériques, j’ai traversé durant cette guerre une bon
10
t aux troubles révolutionnaires qui marquaient en
Europe
l’irruption du libéralisme, du capitalisme et du nationalisme. Lui se
11
’ailleurs toute l’instabilité. La population de l’
Europe
a plus que doublé en cent ans ; ses richesses ont été décuplées ; sa
12
nière, celle des relations de l’Allemagne et de l’
Europe
, ou d’une masse quelconque et du Prince. Ou encore, elle figure le co