1 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
1 t le Moyen Âge, il terrorise les populations de l’ Europe christianisée. Les moines font autant pour sa gloire que les rabbins
2 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
2 élucider. Replaçons-nous dans la situation de l’ Europe à la veille de sa grande catastrophe. La question qui se posait alors
3 ait le sens et le prix. De même Hitler, battant l’ Europe entière, n’a jamais pu jouir de sa victoire. Gagnant tout, il n’a rie
4 Paris est détruit, j’en perdrai le goût d’être un Européen . La Ville Lumière n’est pas détruite : elle s’est éteinte. Désert de
3 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
5 manifeste de l’Oxford Group, largement répandu en Europe , et qui s’intitulait non sans une curieuse présomption : « Nous somme
6 ions le perdent à coup sûr. Je parle ici comme un Européen qui a vu de près des phénomènes bizarres de désintégration démocratiq
7 des leçons claires qui se dégagent des événements européens me paraît être celle-ci : la haine purement sentimentale du mal qui e
8 de pensée et de vie qu’ils venaient de perdre en Europe pour en avoir abusé sans plaisir. On s’en voudrait de commenter une s
9 rd du navire : nous approchons d’Ellis Island. En Europe et dans les deux Amériques, j’ai traversé durant cette guerre une bon
4 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
10 t aux troubles révolutionnaires qui marquaient en Europe l’irruption du libéralisme, du capitalisme et du nationalisme. Lui se
11 ’ailleurs toute l’instabilité. La population de l’ Europe a plus que doublé en cent ans ; ses richesses ont été décuplées ; sa
12 nière, celle des relations de l’Allemagne et de l’ Europe , ou d’une masse quelconque et du Prince. Ou encore, elle figure le co