1 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
1 u flagrant. Il promène par les rues de nos villes européennes de grands panneaux-réclame qui parlent un langage clair. Jamais il ne
2 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
2 ue de 1932. 17. Affirmation due à P. Nizan, dans Europe (avril 1933). Cet auteur veut « commencer par le commencement », ce q
3 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
3 sible. C’est le principe de cet activisme que les Européens trouvent commode de nommer « américain ». 3° L’hérésie de la synthèse
4 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
4 ce qui l’a permise, prétend encore dominer sur l’ Europe , et ne peut maintenir cette apparence de règne qu’en confondant scand
5 leur profit « la primauté du Christ et celle de l’ Europe  »26. L’on voit des von Papen, délégués par l’industrie lourde au gouv
5 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
6 e où, pour la première fois, dans l’histoire de l’ Europe , la passion unitaire se donna libre cours. L’ancêtre du fascisme, c’e
6 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
7 s les personnes averties de l’état politique de l’ Europe  ; cela ne paraîtra pas même un comble, mais sera tenu pour un rien et
8 ces et de police. Nous connaissons une jeunesse d’ Europe qui n’a pas attendu pour vivre la permission du marxisme orthodoxe. N
9 ’Angleterre. Est-ce l’avènement d’un nouvel Ordre européen  ?59 Aventures ? La révolution n’est pas une aventure. Elle est
7 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
10 e possède une tradition révolutionnaire unique en Europe , tradition qui a ses ancêtres et ses idéologues, ses annales et ses d
11 t patriotes ; fédéralistes dans le plan politique européen , et personnalistes dans le plan moral, ils occupent une position orig
8 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
12 épit de toute dignité humaine et de toute réalité européenne et mondiale. Si vous aimez ça, restez dedans. Mais alors, ne vous pla
9 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
13 comment se situe la Réforme dans l’évolution de l’ Europe , et quel principe central elle doit y incarner, de nos jours sans dou
14 r les relations politiques. Toute l’histoire de l’ Europe serait à refaire à partir de cette constatation : que les formes et s
15 IV, conçut le « Grand Dessein » d’une fédération européenne  ? Certes, les historiens attribuent à ces faits des causes politiques
16 en plein cœur de l’actuel. Comment situer dans l’ Europe d’aujourd’hui les positions civiques de la Réforme et sa morale perso
17 longuement. » Il me semble que le spectacle de l’ Europe contemporaine donne raison au réformateur. Et je ne crois pas être in
18 tenté de situer la Réforme dans l’évolution de l’ Europe , puis dans les conflits actuels. J’ai essayé de vous montrer que sa d
10 1946, Politique de la personne (1946). Préface pour l’édition de 1946
19 fait que la Résistance, dans plusieurs pays de l’ Europe , absorba le mouvement personnaliste, son esprit, ses mots-clés, et se
20 nés nos groupes, il est certain que la Résistance européenne redécouvrit bon nombre de nos positions, mit au point dans la lutte n
21 i je trouve à mon retour, après six ans, dans une Europe mal relevée d’une grave opération à chaud, les symptômes du même mal,
22 mot ; la chose suivra-t-elle ? Que peut encore l’ Europe , terre des droits de la personne, prise entre l’Amérique et la Russie