1 arrière. Un moraliste au style subtil et naturel, Félix Bovet . Mais la littérature au sens étroit du terme — le roman, le poème, l’

2 arrière. Un moraliste au style subtil et naturel, Félix Bovet . Mais la littérature au sens étroit du terme — le roman, le poème, l’

3 s plus fins moralistes du xixe siècle en Suisse, Félix Bovet , écrivait : « Cet enfant m’inquiète, il est trop avancé, il se dévelo

4 s plus fins moralistes du xixe siècle en Suisse, Félix Bovet , écrivait : « Cet enfant m’inquiète, il est trop avancé, il se dévelo

5 Benjamin Constant, Alexandre Vinet, H.-F. Amiel, Félix Bovet — fait place à l’influence très rapidement croissante des journaux, d

6 appelle plaine d’Areuse, ou de l’Areuse, mais que Félix Bovet baptisa simplement la Bovétie — à laquelle j’appartiens par ma mère e

7 fficiers tandis que Philippe Godet a pu écrire de Félix Bovet — qui appartient lui au monde de Grandchamp — « qu’il ne parvint jama

8 Clara et Hélène (cette dernière sera la femme de Félix Bovet , père de Pierre). Toutes les trois ont été formées soit en Allemagne,

9 ent de chef sont restés légendaires à Grandchamp, Félix Bovet , qui deviendra son beau-frère, a pu écrire une phrase que me ravit pa

10 de ceux-là. Quand il était en séjour chez son ami Félix Bovet , il le laissait souvent « pour aller trouver sœur Lisbeth et pour flé

11 lement religieuses. Le Grandchamp de Félix Bovet. Félix Bovet qui fut bibliothécaire puis professeur de littérature à l’Académie de

12 Cioran. Mais plus encore qu’un écrivain de race, Félix Bovet fut l’âme discrète d’un large rayonnement intellectuel. C’est lui que

13 upportables aux incroyants comme aux orgueilleux. Félix Bovet supportait mal l’étroitesse des Églises de son temps et ne s’est jama

14 e, de compréhension et d’humour, — sinon d’amour ( Félix Bovet aurait-il reculé devant le jeu de mot ? je n’en suis pas certain), no

15 érance que cette pensée du moraliste neuchâtelois Félix Bovet , publiée au début du siècle : « Je ne serai pleinement satisfait que