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Les Signes parmi nous, par C.
F. Ramuz
(janvier 1932)c Il est remarquable que ceux dont la fonction serai
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ent. c. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] C.
F. Ramuz
, Les Signes parmi nous », La Nouvelle Revue française, Paris, janvie
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Une main, par C.
F. Ramuz
(juin 1933)l Qu’on ait pris Ramuz pour un « régionaliste », c’est
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e. » l. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] C.
F. Ramuz
, Une main », La Nouvelle Revue française, Paris, juin 1933, p. 1001-
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s : alors elles nous en sont reconnaissantes. C.
F. Ramuz
(Adam et Ève). La plénitude du monde n’est pas dans la contemplation
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P.-S. — Nul écrivain contemporain mieux que C.
F. Ramuz
n’a su replacer l’homme dans la perspective biblique de la Création.
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Taille de l’homme, par C.
F. Ramuz
(avril 1934)o Après Une Main, confession réticente, d’une discréti
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e ». o. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] C.
F. Ramuz
, Taille de l’homme », La Nouvelle Revue française, Paris, avril 1934
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Vues sur C.
F. Ramuz
(mai 1936)t u Die Tiefe muss man verstecken. Wo ? An der Oberfläc
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x Cahiers. t. Rougemont Denis de, « Vues sur C.
F. Ramuz
», Esprit, Paris, mai 1936, p. 154-168. u. Une note précise : « Frag
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, alors elles nous en sont reconnaissantes. » (C.
F. Ramuz
). « D’autant plus nous connaissons les choses particulières, d’autan
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)at au C’est un redoutable questionneur que C.
F. Ramuz
. Vous croyez tout d’abord qu’il interroge simplement par curiosité, o
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encement de nos institutions, les méfiances de C.
F. Ramuz
et la confiance de Liehburg, tout indique et appelle dans ces pages u
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Denis de Rougemont et ouvert par une lettre de C.
F. Ramuz
, que Rougemont commente ici en introduction.
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la Suisse, répondait à la fois à la Lettre que C.
F. Ramuz
m’adressait en tête de ce même numéro, et au volume qu’il venait d’in
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Hommage à C.
F. Ramuz
(mai 1940)as Le plus intéressant dans un recueil de mélanges ou d’
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Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Hommage à C.
F. Ramuz
», La Nouvelle Revue française, Paris, mai 1940, p. 697-698.
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s, alors elles nous en sont reconnaissantes » (C.
F. Ramuz
). « D’autant plus nous connaissons les choses particulières, d’autant
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ci, je voudrais leur répondre comme le faisait C.
F. Ramuz
, les dernières fois où je l’appelais au téléphone en lui disant : « C
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e par Delémont, Bienne, Fribourg, Sierre. 45. C.
F. Ramuz
est un cas singulier, plus vaudois d’ailleurs que romand. 46. Là enc
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re universitaire méditerranéen, dans la chaire C.
F. Ramuz
; on voudra bien en excuser le style parlé. L’Europe de l’énergie re
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lement pensé, pour l’introduire, à notre grand C.
F. Ramuz
. Il m’envoya cette introduction sous la forme d’une lettre ouverte qu
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’édition, et le grand écrivain suisse français C.
F. Ramuz
. Ce dernier se montra sceptique. Je l’entends encore dire : « Vous au
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Constant à Paris. Quant à un C. G. Jung, à un C.
F. Ramuz
, à un Karl Barth ou à un Jean Piaget, qui ont surtout vécu en Suisse,
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ue ou de tempérament ? Certains citeront alors C.
F. Ramuz
, à titre d’argument massue contre ma thèse. Est-il besoin de rappeler
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ins égards les récits d’un réalisme stylisé de C.
F. Ramuz
, se distinguent des romans français, anglais ou russes des mêmes époq
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ant que françaises et latines. Et si l’on cite C.
F. Ramuz
contre ma thèse, faut-il rappeler que ce grand écrivain s’est formé à
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nguera-t-il jamais en littérature ou en art ? C.
F. Ramuz
. Qu’il n’y ait pas de littérature suisse, du seul fait que ses écr
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De cette difficulté, non d’être mais de dire, C.
F. Ramuz
voulut tirer vertu. Son esthétique de la rugosité, de la lenteur, de
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esquels coopèrent Alémaniques et Romands. 97. C.
F. Ramuz
, Une main. 98. C. F. Ramuz, « Lettre », Esprit , octobre 1937. 99.
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s et Romands. 97. C. F. Ramuz, Une main. 98. C.
F. Ramuz
, « Lettre », Esprit , octobre 1937. 99. Après Guy de Pourtalès et P
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sseau, Mme de Staël, Benjamin Constant, Amiel, C.
F. Ramuz
, C.-A. Cingria, G. de Reynold, pour ne pas parler des vivants, ce n’e
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Villars-Gilles, François Debluë, Albert Loude, C.
F. Ramuz
ou Denis de Rougemont, tous y contribuent. Mais, parallèlement, les i
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onnaissons Dieu. Spinoza Quand on arrive chez C.
F. Ramuz
, dans une ample maison campagnarde en pierre rose, au tournant d’une
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ls sont. aa. Rougemont Denis de, « [Préface] C.
F. Ramuz
, Présence de la mort », Cahiers de l’Alliance culturelle romande, Ge