1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 e M. de Montherlant est justement un des premiers Français qui ait compris que le but du sport n’est pas la performance, mais le
2 1924, Articles divers (1924–1930). Conférence de Conrad Meili sur « Les ismes dans la peinture moderne » (30 octobre 1924)
2 ili parla des écoles qui représentent la peinture française , des débuts du xixe siècle à nos jours. Partis du classicisme de Dav
3 du classicisme de David et d’Ingres, les peintres français ont accompli, durant le xixe siècle, une exploration merveilleuse da
3 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
4 la conférence de M. Jean Cadier, un jeune pasteur français , on descendit — ou l’on monta suivant M. A. Léo — du domaine de la pe
5 centaine d’étudiants et de professeurs suisses et français . Miracle qui nous fit croire un instant à la fameuse devise de la Rév
4 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
6 ion de l’édit, et 1685, date de la révocation, la France passa de la plus grande liberté à la plus grande tyrannie. En proclam
7 it enregistrés. Après avoir fait un tableau de la France de l’édit, victorieuse dans la guerre de Trente Ans, l’orateur expose
8 it Madame de Maintenon. Mais bientôt l’on voit la France se dépeupler ; des industries sont presque anéanties ; les conséquenc
9 e 1685 marque une déviation dans l’histoire de la France . Déviation telle, en effet, que nous en sentons les conséquences de n
5 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
10 Au sujet « d’un certain esprit français  » (1er mai 1930)p 1. Un petit volume « lourd de pensée », comme di
11 ’écrient nos auteurs, « qu’on nous montre un seul Français qui n’ait pas le cœur sur les lèvres, qui ait quelque chose à dire, o
12 ieux dans le sens de la médiocrité spécifiquement française — et nul ne s’en déclare gêné, me semble-t-il… 3. Si nous jetons sur
13 ns qui ont fait leurs études à la Nouvelle Revue française , et qui ont, sur un tas de sujets pas importants, des idées « pertin
14 ujet de quelques-uns des meilleurs esprits que la France ait su rendre inoffensifs. Il se pourrait très bien qu’à cette généra
15 sans l’accompagnement desquels, semble-t-il, nul Français ne saurait accepter sa révolte. Il y a bien quelques outrances dans t
16 omination et de puissance… On ne se pose plus, en France , de questions qui dépassent un certain plan. C’est mal vu. » Ou si on
17 pas mieux ? Du moins n’ont-ils pas cette impudeur française de supprimer ce qu’ils ne peuvent résoudre sur-le-champ. Ils mettent
18 cents. Voyez Bertram, Gundolf, Rudolf Kassner… En France , hélas ! une logique verbale et le clair génie que l’on sait se charg
19 u’il est vraiment trop facile de nommer l’avarice française , il vous reste à choisir entre le sort de Nietzsche et celui de Schil
20 ter sa chambre, son cigare ou son moi. » 8. « La France … n’a pas su faire la révolution morale… parce qu’elle manque de sens
21 morale… parce qu’elle manque de sens moral. » Le Français qui n’est ni chrétien ni disciple de Nietzsche, demandera pourquoi il
22 la substance. p. « Au sujet “d’un certain esprit français ” », Aujourd’hui, Lausanne, n° 22, 1er mai 1930, p. 4. Recension de l’
6 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
23 dire sur l’admiration dont certains littérateurs français témoignent en face des fantômes nés du relâchement de leur esprit ou