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e M. de Montherlant est justement un des premiers
Français
qui ait compris que le but du sport n’est pas la performance, mais le
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ili parla des écoles qui représentent la peinture
française
, des débuts du xixe siècle à nos jours. Partis du classicisme de Dav
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du classicisme de David et d’Ingres, les peintres
français
ont accompli, durant le xixe siècle, une exploration merveilleuse da
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la conférence de M. Jean Cadier, un jeune pasteur
français
, on descendit — ou l’on monta suivant M. A. Léo — du domaine de la pe
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centaine d’étudiants et de professeurs suisses et
français
. Miracle qui nous fit croire un instant à la fameuse devise de la Rév
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ion de l’édit, et 1685, date de la révocation, la
France
passa de la plus grande liberté à la plus grande tyrannie. En proclam
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it enregistrés. Après avoir fait un tableau de la
France
de l’édit, victorieuse dans la guerre de Trente Ans, l’orateur expose
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it Madame de Maintenon. Mais bientôt l’on voit la
France
se dépeupler ; des industries sont presque anéanties ; les conséquenc
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e 1685 marque une déviation dans l’histoire de la
France
. Déviation telle, en effet, que nous en sentons les conséquences de n
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Au sujet « d’un certain esprit
français
» (1er mai 1930)p 1. Un petit volume « lourd de pensée », comme di
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’écrient nos auteurs, « qu’on nous montre un seul
Français
qui n’ait pas le cœur sur les lèvres, qui ait quelque chose à dire, o
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ieux dans le sens de la médiocrité spécifiquement
française
— et nul ne s’en déclare gêné, me semble-t-il… 3. Si nous jetons sur
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ns qui ont fait leurs études à la Nouvelle Revue
française
, et qui ont, sur un tas de sujets pas importants, des idées « pertin
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ujet de quelques-uns des meilleurs esprits que la
France
ait su rendre inoffensifs. Il se pourrait très bien qu’à cette généra
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sans l’accompagnement desquels, semble-t-il, nul
Français
ne saurait accepter sa révolte. Il y a bien quelques outrances dans t
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omination et de puissance… On ne se pose plus, en
France
, de questions qui dépassent un certain plan. C’est mal vu. » Ou si on
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pas mieux ? Du moins n’ont-ils pas cette impudeur
française
de supprimer ce qu’ils ne peuvent résoudre sur-le-champ. Ils mettent
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cents. Voyez Bertram, Gundolf, Rudolf Kassner… En
France
, hélas ! une logique verbale et le clair génie que l’on sait se charg
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u’il est vraiment trop facile de nommer l’avarice
française
, il vous reste à choisir entre le sort de Nietzsche et celui de Schil
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ter sa chambre, son cigare ou son moi. » 8. « La
France
… n’a pas su faire la révolution morale… parce qu’elle manque de sens
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morale… parce qu’elle manque de sens moral. » Le
Français
qui n’est ni chrétien ni disciple de Nietzsche, demandera pourquoi il
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la substance. p. « Au sujet “d’un certain esprit
français
” », Aujourd’hui, Lausanne, n° 22, 1er mai 1930, p. 4. Recension de l’
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dire sur l’admiration dont certains littérateurs
français
témoignent en face des fantômes nés du relâchement de leur esprit ou