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étique ou stalinienne, il est temps que le public
français
commence à se renseigner sur la question hitlérienne, autrement brûla
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méthodes l’antithèse exacte de ce qui se passe en
France
. Et l’on en vient à se demander si ce n’est pas surtout le souci de f
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n’est pas surtout le souci de faire la leçon aux
Français
« de gauche » qui a poussé M. Rivaud à étudier l’exemple allemand. Ce
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larer récemment que du seul fait que je vivais en
France
, j’avais « rompu » avec mes origines. Vous avez fait justice de cette
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and effort moral. Quand j’ai envoyé à des amis de
France
le récit de la journée où j’ai vu Hitler en communion avec son peuple
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er ? (24 février 1939)l La grande majorité des
Français
pensent que le Führer est un végétarien belliqueux qui ressemble à Ch
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use. Il est rare, en effet, qu’on en ait parlé en
France
comme de problèmes sérieux, acquiesce l’écrivain. Mais il en va diffé
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s peuples les plus guerriers sont l’Espagne et la
France
; l’Allemagne ne vient que loin derrière, — l’Allemagne d’avant le ro
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de Tristan et Iseut à l’hitlérisme », Tribune de
France
. Hebdomadaire de la reconstruction française, Paris, n° 24, 14 juille
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bune de France. Hebdomadaire de la reconstruction
française
, Paris, n° 24, 14 juillet 1939, p. 4. Propos recueillis par Eugénie H
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arles-Quint, chez un Philippe II d’Espagne, et en
France
dans le parti des Guise, dans la Ligue. Plus tard, c’est ce même espr
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une foi, une loi, un roi. Et l’on célébrera « la
France
toute catholique sous le règne de Louis le Grand », c’est-à-dire la F
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ous le règne de Louis le Grand », c’est-à-dire la
France
« mise au pas » par l’homme qui dit : « l’État, c’est moi », la Franc
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» par l’homme qui dit : « l’État, c’est moi », la
France
synchronisée, centralisée, déjà presque totalitaire, et vidée de ses
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c’est-à-dire fédéraliste. Les synodes réformés de
France
, vers la fin du xvie siècle, préconisèrent à plusieurs reprises des
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ubliques démocratiques seulement, la Suisse et la
France
; et enfin trois semi-dictatures : Pologne, Hongrie et Portugal. (On
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vinistes, même laïcisés, comme c’est le cas de la
France
sous la Troisième République. Cela ne signifie pas, bien entendu, que
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cercle privé, sur la politique commerciale de la
France
. Tandis que des experts échangent leurs vues, je constate un curieux
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r pour elles ses meilleurs amis. (On entend : les
Français
qui l’ont accueilli comme émigré.) Mais lui, l’émigré, l’excité, le b
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: l’homme dépourvu de tact, que disait-il : — La
France
aime tant la Paix qu’elle n’a pas hésité à sacrifier sur son autel un
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ontrer les fameuses photos en couleur d’écrivains
français
et étrangers — et José Ortega y Gasset. Il y a trois semaines, nous é
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ux prochains. J’écris ceci pendant la bataille de
France
. Est-il trop tard pour répéter ces vérités élémentaires, que le série
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de femmes et d’enfants en fuite sur les routes de
France
? Nous n’avons plus qu’un seul espoir — quelle que soit l’issue de la
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plus ou moins contaminé par les mœurs politiques
françaises
. L’idée même de parti, d’ailleurs, est antisuisse, dans ce sens qu’el
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cas, notre politique reposerait sur une faute de
français
, j’en suis fâché. Ce n’est pas éternelle qu’il convient de dire, mais
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s Gottfried Keller ou des Henri le Vert. Tous les
Français
non plus ne sont pas des Pascal, tous les Allemands ne sont pas des G
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a découvert du même coup quelque chose du mystère
français
, du mystère germanique, ou du mystère alémanique ; sa meilleure part,