1
e tant d’essais réputés outre-Atlantique comme en
France
, et tout récemment des Lettres sur la bombe atomique , vient de fair
2
monde ». C’est ainsi que les choses se passent en
France
et c’est très bien : c’est très européen… La voici donc en pleine act
3
ations, supprimer toutes les différences entre la
France
et l’Allemagne, par exemple, ni contester qu’il faille à nos pays des
4
les adventistes dans trois pays : la Belgique, la
France
et la Suisse. Dans quatre écoles belges (communale, moyenne, normale
5
les absents puissent subir l’épreuve un autre. En
France
, dans plusieurs départements, après que les demandes de dispense ont
6
ible de sauver l’Europe sans sauver sa culture »,
France
indépendante, Paris, n° 15, 5 août 1950, p. 1-2. Présenté par la note
7
fin, dans son retrait, des destins molestés de la
France
, que tant de « partisans extravagants » qui tenaient bruyamment le de
8
par les rigueurs voluptueuses du plus pur langage
français
, et de cette « rhétorique profonde » dont parlait un jour Baudelaire.
9
e, le plus ivre », — il semblera surprenant qu’un
Français
ait ouvert aux Américains les perspectives de l’épopée globale que l’
10
nière partie, le poème du retour à l’Europe, à la
France
. Nous reviendrons, un soir d’Automne, sur les derniers roulements d’
11
uit une description charmante et déchirante d’une
France
désuète et qui naguère encore périssait « par excès de sagesse », d’u
12
encore périssait « par excès de sagesse », d’une
France
vers laquelle il rêve son retour avec le vent des Amériques. Au plus
13
rmée, toute nordique ou latine, tout allemande ou
française
, toute monarchique ou républicaine, toute corporatiste ou parlementai