1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 protestations belliqueuses. Il nous montre « des Français qui pensent ces carnages inévitables, avec un bref soupir s’y résigne
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Breton, Manifeste du surréalisme (juin 1925)
2 impression. C’est grand dommage pour les lettres françaises qui risquent d’y perdre au moins deux grands artistes : Aragon, Éluar
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Colin, Van Gogh (août 1925)
3 rne » est au moins le cinquième ouvrage publié en France sur Van Gogh, depuis 1922. Il contient pourtant des vues assez neuves
4 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Lucien Fabre, Le Tarramagnou (septembre 1925)
4 nouvelle mise en servitude du peuple rustique de France  ». En effet — le phénomène n’est pas particulier à la France — les pa
5 n effet — le phénomène n’est pas particulier à la France — les paysans sont en train de redevenir serfs, serfs des syndicats e
5 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
6 le et inépuisable curiosité. Mais, de même que la France interrogeant l’Europe du xviiie prenait surtout conscience de son pr
6 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Miguel de Unamuno, Trois nouvelles exemplaires et un prologue (septembre 1925)
7 ment un étonnant esprit. Pour présenter au public français cette œuvre « d’importance européenne », croyez-vous qu’il aille s’ab
7 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ernest Seillière, Alexandre Vinet, historien de la pensée française (octobre 1925)
8 eillière, Alexandre Vinet, historien de la pensée française (octobre 1925)k Peut-être n’est-il pas trop tard pour parler du Vi
9 illière : Alexandre Vinet, historien de la pensée française (Payot) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, octob
8 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
10 ’en écrire l’épopée dans Prikaz, cette traduction française de l’énorme cri de délivrance du peuple fou. Belles étincelles échapp
9 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
11 ttérature moderne. Il n’a pas fallu longtemps aux Français pour pousser à bout l’expérience3. Ingénieux équilibres entre la rais
10 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
12 écembre 1926)aa Un Chinois écrit d’Europe à un Français qui lui répond de Chine. Nous sommes loin du ton des Lettres persanes
13 greur, et critique avec un mépris tranquille ; le Français riposte sans conviction, et sous sa défense on devine une détresse. C
11 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
14 hardi et le plus original de la jeune littérature française . Il le proclame « J’appartiens à la grande race des torrents ». Génie
15 al sans pudeur, un Musset ivre non plus de vin de France , mais d’alcools pleins de démons, de drogues peut-être mortelles. a
12 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Éluard, Capitale de la douleur (mai 1927)
16 ose, tout de même, de laqué, d’élégant, de « bien français  » ; et le mot sang n’évoque ici qu’une tache de couleur, plus sentime
13 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Drieu la Rochelle, La Suite dans les idées (mai 1927)
17 n heureux de rencontrer chez les jeunes écrivains français un homme qui ait à ce point le sens de l’époque, une vision si claire
18 , Ferrero, commencent à être prises au sérieux en France par quelques jeunes gens. Il faut louer Drieu d’avoir échappé au surr
14 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Princesse Bibesco, Catherine-Paris (janvier 1928)
19 ème action (l’amour de Catherine pour un aviateur français ) assez peu intéressante à vrai dire, parce qu’elle n’est pas à l’éche
15 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Aragon, Traité du style (août 1928)
20 é son premier chapitre, variation sur un mot bien français et ses applications faciles à cent célébrités locales. (Quant à Goeth
16 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Naville, La Révolution et les intellectuels (novembre 1928)
21 ment vers l’action, c’est-à-dire — nous sommes en France — vers la politique. Or ces ennemis de toute littérature voient leurs
17 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
22 , on le traque à Paris même… Il subjugue le jeune Français par ces évocations et l’espèce de fièvre qu’il y apporte. Mais plusie
23 du « prince » qui disparaît, néanmoins. Enfin, le Français reçoit une lettre trouvée sur le corps de son ami suicidé, pathétique
18 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Rolland de Renéville, Rimbaud le voyant (août 1929)
24 élancoliques réflexions sur le génie « poétique » français … Mais non, nous préférons voir ici l’un de ces signes qui de toutes p
25 qui se soit révélé par le truchement de la poésie française . — Livre un peu didactique, trop attentif à sa propre démarche, mais
26 . Je ne vois là que l’indice d’une confusion bien française , hélas. ba. « André Rolland de Renéville : Rimbaud le Voyant (Au sa
19 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henri Michaux, Mes propriétés (mars 1930)
27 faciles qu’on aime à ménager dans un jardin à la française . Mais vous ne tarderez pas à remarquer que tout, ici, est original, i
20 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
28 e sentiment, disait-on, du temps que l’on parlait français . J’expliquais donc que je ne voyage qu’au hasard, et pour rien ni per
21 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
29 celle aussi de la découverte de Hölderlin par la France . La Mort d’Empédocle et les Poèmes de la folie ont paru simultanément
30 plus d’un, c’est-à-dire de s’en libérer. Ainsi la France conçut l’homme rationnel ; Empédocle, au contraire est celui qui pass
31 oi Hölderlin diffère le plus peut-être des poètes français , c’est que son lyrisme est l’expression d’une philosophie à l’état na
32 oces. Jouve est le plus « germanique » des poètes français d’aujourd’hui ; ce sont les harmoniques éveillées en lui par la voix
22 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
33 re que de s’abandonner d’une certaine manière. En France , chacun parle pour son compte, paraphe son épigramme, jette son petit
34 lon qu’ils sont techniciens ou intellectuels. Les Français aiment par goût d’en bien parler. Les Suisses aiment avec une bonne o
35 usieurs milliers d’exemplaires, tels que banlieue française , village suisse, gare allemande grouillante de questions sociales. La
23 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
36 rge non pas autrement qu’il n’aborderait un génie français , et sur un pied véritablement européen. L’envergure en quelque sorte