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uisse, en Autriche, en Italie, en Allemagne et en
France
: quelques mois et j’étais acclimaté. J’oubliais que le pays n’était
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mes réflexes attendaient. Des amis débarquant de
France
me disent : Alors, qu’en pensez-vous ? De l’Amérique ? Tout ce que je
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mble assez important, pour faire comprendre à des
Français
certaines démarches surprenantes de la diplomatie américaine, de parl
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sère de leurs amis. Ils rentrent en disant que la
France
est sale et en désordre, que tout y est cher pour eux et que les WC s
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omme un songe au matin ? Dans ce petit restaurant
français
de la 56e rue, à l’ouest, un jour de l’autre hiver, le garçon vint me
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’opposent à l’entrée des films russes, anglais et
français
, cèderont au jour… Et j’imagine alors Hollywood déserté, une ghost to
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x presses, deux méthodes : l’Américain expose, le
Français
explique (4 avril 1946)e Peu de temps avant la guerre, un grand jo
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hitlérienne me paraissait meilleure que celle de
France
, parce qu’elle donnait plus de nouvelles du monde, et d’une manière p
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autre journal. Ceci me paraît très important. En
France
, il arrive trop souvent que le débat réel reste mal défini, les posit
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rnal, en apprend davantage sur ce qui se passe en
France
que la lecture de dix journaux français. Tous les Français, qui vienn
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se passe en France que la lecture de dix journaux
français
. Tous les Français, qui viennent ici, en tombent d’accord. New Yor
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que la lecture de dix journaux français. Tous les
Français
, qui viennent ici, en tombent d’accord. New York a neuf journaux,
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ne espèce humaine bien définie. Le grand reporter
français
cherche à expliquer, il tend à l’essai. Le correspondant américain ch
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it, ne tient pas plus de place que dans la presse
française
. Par contre, celle de la religion, qui n’existe aucunement en France,
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celle de la religion, qui n’existe aucunement en
France
, occupe souvent deux pages entières. Enfin, vous ne trouverez pas dan
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e siècle est en révolution, l’Europe en ruine, la
France
en crise pour dire le moins, c’est bien le moment de lire Paul de Koc
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Des moyens d’information dignes de ce nom La
France
possède, depuis la guerre, un ministère de l’Information, dont jusqu’
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x presses, deux méthodes : l’Américain expose, le
Français
explique », Carrefour, Paris, n° 85, 4 avril 1946, p. 1. Texte précéd
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nom de sa nation : les Allemands sous Hitler, les
Français
sous Louis XIV et sous Napoléon, les Italiens sous Mussolini. Les Amé
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nkee : le Mexique latin, le Canada britannique et
français
. Couronnant le tout, voici que le monde germanique vient déclarer la
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La
France
est assez grande pour n’être pas ingrate (26 novembre 1947)k La ho
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de défendre l’Europe, mais de la faire. k. « La
France
est assez grande pour n’être pas ingrate », Carrefour, Paris, n° 167,