1
« Jugendbewegung » en Allemagne ; surréalisme en
France
, en Amérique ; poussée mystique en Russie. a. « Le péril Ford », Foi
2
nève. Il a collaboré à diverses revues suisses et
françaises
. Il prépare trois volumes (Essais, Romans, Voyages). »
3
eur qu’il prend dans l’esprit des héros. Un jeune
Français
a décidé d’aller fouiller les temples en ruines de la Voie royale d’A
4
trait le plus évidemment « protestant » de l’art
français
. Mais s’il est malaisé de décrire, dès à présent, un art protestant
5
est entré dans l’intimité de milliers de lecteurs
français
avec un livre d’un rare prestige, Daphné Adeane. On vient de traduire
6
ong, — il compte plus de 600 pages dans l’édition
française
— d’un rythme plus inégal aussi, il ne lui est pas inférieur par l’in
7
très belle préface qu’il a donnée à la traduction
française
note avec raison que M. Baring se montre « quelque peu inexorable dan
8
erkegaard dans le monde intellectuel et religieux
français
, est un événement qui mérite d’être signalé et qui aura un profond re
9
ans des revues comme Commerce, la Nouvelle Revue
française
, la Revue de Genève . Diverses études lui ont été consacrées, en pa
10
ts du xixe siècle, du plus méconnu peut-être, en
France
tout au moins, — du plus actuel, je dirais même du plus urgent de tou
11
e œuvre de cette envergure ait pénétré d’abord en
France
, sous les espèces du fragment le moins caractéristique de Kierkegaard
12
ulente. Qu’une telle œuvre commence son action en
France
au moment où l’intérêt passionné de beaucoup se porte à la rencontre
13
Dieu ». 21. Aux Éditions de la Nouvelle Revue
française
, chez Fourcade et aux Éditions « Je sers ». h. « Kierkegaard », Foi
14
se borner à confronter les réactions anglaises et
françaises
. La réaction allemande eût apporté un élément important et radicaleme
15
, c’est la pauvreté de la littérature alpestre en
France
. À part Sénancour, aucun de nos écrivains n’a su puiser dans le thème
16
Mlle Engel constate que « les plus grands poètes
français
du xixe siècle ont échoué dans leur interprétation des montagnes. Il
17
oderne ; mais elle est unique dans la littérature
française
du xixe . La littérature anglaise, au contraire, a donné toute une su
18
ue de palaces ? 22. La Littérature alpestre en
France
et en Angleterre, aux xviiie et xixe siècles. (Librairie Dardel, Ch
19
, en Amérique, en Angleterre, en Allemagne, et en
France
, sous celui d’Avant l’Aube, est un des livres les plus significatifs
20
failles. Quelques articles parus dans des revues
françaises
ou suisses nous avaient appris à connaître les résultats considérable
21
’est Gide qui, l’un des premiers, l’a prononcé en
France
. Kierkegaard, un homme qui ne vous lâche plus. Il a beaucoup parlé de
22
non réfugié, mais d’éducation et de nature toute
française
. M. Thibaudet ajoute à ce propos : On m’a fait observer très justem
23
ce pays de Saintonge, qui, si la force de l’unité
française
n’avait été irrésistible, avait ce qu’il fallait pour devenir une man
24
roi à neuf-mille marins). Loti est un protestant
français
de la vieille souche maritime. Évidemment, cela n’en fait pas un Gene
25
auteur dans la lignée de ces fameux « moralistes
français
» auxquels nous pardonnons souvent d’être des romanciers assez ternes
26
n fait prit corps, irréfutable : dans l’esprit du
Français
moyen, « protestant » devint synonyme de « moraliste ». Était-ce qu’i
27
urs flattait un penchant traditionnel de l’esprit
français
). Cela pouvait donner soit des œuvres d’analyse tendant à dissoudre l
28
compte de la faiblesse numérique des protestants
français
. Bilan terriblement déficitaire si l’on prend au sérieux la grandeur
29
joie surabondante : verrons-nous quelque jour en
France
surgir une poésie chrétienne d’inspiration évangélique ? Souhaitons q
30
aume. 28. Denis Saurat, dans la Nouvelle Revue
française
et Marsyas. 29. Albert Thibaudet, dans Candide. 30. À Mauriac, joig
31
sciences qui serait aussi directeur de la Comédie
française
et ministre de l’Intérieur, et qui, en marge des expériences accumulé
32
7. Numéro d’hommage à Goethe de la Nouvelle Revue
française
(mars 1932). n. « Goethe, chrétien, païen », Foi et Vie, Paris, n° 3
33
à beaucoup de jeunes intellectuels marxistes, en
France
particulièrement. Les philosophes ne s’adressent jamais à tel homme d
34
reux, — salutaire. 38. Aux Éditions de la Revue
française
, chez Alexis Rédier, Paris 1932. 39. Chez Rieder, collection « Europ
35
t de la religion. Des livres comme l’Essai sur la
France
, de E. R. Curtius, dont il fut parlé ici même, ou le Dieu est-il Fran
36
us, dont il fut parlé ici même, ou le Dieu est-il
Français
, de F. Sieburg, donneront une idée assez juste du genre. Son succès e
37
en plus profond qu’on ne l’imagine d’ordinaire en
France
. En ceci, les Allemands se trouvent être en quelque sorte plus « actu
38
ent mêlés au jeu des puissances modernes, que les
Français
ne le furent jusqu’à ces tout derniers temps. Et c’est là que gît l’e
39
écédent où s’engage l’humanité tout entière. ⁂ En
France
, plus longtemps qu’ailleurs, le « grand public » considéra que la lec
40
petite équipe des fondateurs de la Nouvelle Revue
française
pour imposer, par l’effet d’un snobisme inattendu, la mode des discus
41
l. Les grandes controverses modernes sont nées en
France
autour de la Trahison des clercs, autour du problème de l’humanisme (
42
nnées dans les jeunes groupes révolutionnaires de
France
et de Belgique, dans la revue Esprit, et surtout dans les cercles de
43
s chrétiens (mai 1934)r Combien existe-t-il en
France
de personnes intelligentes ? Pour le juger il ne faudrait sans doute
44
la Révolution auquel on demandait à son retour en
France
ce qu’il avait fait en exil : « J’ai vécu, Monsieur, c’est bien assez
45
e qu’il fasse passer de l’air dans la philosophie
française
; un de ceux pour lesquels philosopher ne figure pas l’activité de ce
46
la pensée ; mais, jusqu’ici, peu l’ont suivie, en
France
. Sachons gré à M. Gabriel Marcel de nous donner l’exemple d’une « pré
47
prit du siècle ne les dépasse. 50. Traduite en
français
sous le titre de Traité du désespoir. 51. Rudolf Kassner, dans Comm
48
git d’une œuvre allemande, d’un auteur inconnu en
France
jusqu’ici, d’un roman qui veut dire quelque chose — quelque chose qui
49
stige. L’empire anglais se dissocie lentement. La
France
doute de sa mission. L’Espagne est morte, et le spectacle de la vie p
50
ais il se peut tout de même que certains lecteurs
français
en soient choqués — le sentiment d’une fraternité humaine que le roma
51
constater que ses livres sont les seuls ouvrages
français
qu’on puisse comparer, tant pour leur sujet que pour leur atmosphère
52
Luther inconnu Dire qu’on ignore Luther en
France
serait exagérer, mais dans le sens contraire de celui qu’on imagine.
53
parcouru les Propos de table, présentés au public
français
comme un ouvrage capital : ils s’étonnent d’y trouver si peu de subst
54
rande valeur des travaux de quelques spécialistes
français
qui, au niveau de la haute culture, ont largement sauvé l’honneur de
55
ou d’histoire de l’Église dans les trois Facultés
françaises
de théologie protestante. Il n’en reste pas moins que l’ignorance ou
56
ue (Denifle, Maritain, Grisar), mettent le public
français
en état d’infériorité assez grave, ne fût-ce que sur le plan de la cu
57
u De servo arbitrio, dont une première traduction
française
va paraître, après un peu plus de 400 ans : je le vois au centre du d
58
inistes, même laïcisés, comme ce fut le cas de la
France
sous la Troisième République ? Comment expliquer ce fait ? À défaut d
59
r des seceders.) Et l’on sait que les réformés de
France
, au xvie siècle, préconisèrent une organisation fédérative du royaum
60
e 1946, p. 621-639. Il s’agit d’une traduction en
français
de « Ecumenicity and federalism », Christendom, New York, n° 2, print
61
n jardin du pays de Gex devant la caméra de la TV
française
, dans l’après-midi lumineux du 24 août 1973, et donnais pour exemple
62
tissez-vous et revenez ! 74. Interview à la TV
française
, avril 1973. 75. Constantin Doxiadis, « Œcumenopolis ou la forêt dan