1 1950, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Pour un standard unique de la télévision (18 novembre 1950)
1 Bretagne a adopté un lignage standard de 405 ; la France , un lignage de 819, et la plupart des autres nations, y compris l’URS
2 1969, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Une longue et vieille histoire (7 juin 1969)
2 citan, arabe, celte et anglo-saxon — va donner en français , par Béroul et Chrétien, le modèle du roman d’amour mortel, théologic
3 n d’une érotique sentimentale dans la littérature française . Avec Racine, tout s’érotise, à un tel point que la sexualité en devi
4 lui se fonde l’érotique protestante, mais hors de France  : Goethe, Richardson et Laurence Sterne dans la première génération d
3 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La poussée régionaliste en Europe occidentale (avril 1971)
5 les disparités économiques nationales (Sud-Ouest français , Mezzogiorno) ou le sous-développement de certaines régions des Six o
6 t de Genève brochant sur deux ou trois pays, Nord français coupé de la Flandre occidentale et du Hainaut, triangle Aix-la-Chapel
4 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’absence d’une « culture nationale », facteur du développement intellectuel (26-27 septembre 1971)
7 gne 0,71 ; 7. Royaume-Uni 0,67 ; 8. USA 0,41 ; 9. France 0,40 ; … 19. Russie-URSS 0,03. Lisons dans ce tableau l’avantage des
8 ur les élites intellectuelles et politiques de la France , de l’Écosse et de l’Angleterre, des Pays-Bas et de la Rhénanie, de l
9 atiques. Et puis, après Necker, Genève donne à la France les principaux secrétaires de la Révolution dans sa première phase li
10 et pas seulement sur les récents structuralismes français . De Genève encore vont se répandre les théories de l’institut Roussea
5 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Paul Valéry et l’Europe (29 octobre 1971)
11 aste corps », furent lieux communs des géographes français , de Moreri (1674) jusqu’à Schrader (1896) en passant par Noblet, Brun
12 ification pour nous que leur existence même. Mais France , Angleterre, Russie… ce seraient aussi de beaux noms. Lusitania aussi
13 e.) Mais il a été le premier, et le seul écrivain français de premier rang, au xxe siècle, à réfléchir sur les destins de l’Eur
6 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). « Le respect du réel, c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)
14 t, une vers le Valais et le pays latin, disons la France . Comment et pourquoi avez-vous choisi le versant français de votre pa
15 . Comment et pourquoi avez-vous choisi le versant français de votre pays et de vous-même ? Mais je n’ai pas eu à choisir ! Le fr
16 de vous-même ? Mais je n’ai pas eu à choisir ! Le français est ma langue maternelle. Je me suis parfois moqué de l’accent de Neu
17 ué de l’accent de Neuchâtel. Mais enfin, c’est le français qu’on y parle, non le breton, ni l’alsacien, ni l’occitan. Le parler 
18 il me fallait vivre et penser. Tous ces noms sont français  ; c’est pourtant vers les Allemagnes que vous partez, à vingt ans. Ou
19 « Je sers » — ont contribué à faire connaître en France ce philosophe-poète qui reste mon maître, et peut-être mon juge ironi
20 nt le livre est, me dit-il, des plus urgents : La France et son armée, par Charles de Gaulle. Mais enfin, le livre fut écrit…
7 1974, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Robert Aron : le témoin d’une génération passionnée (9 mars 1974)
21 overbiale — il était, disait-il, le seul officier français qui eût réussi avec son propre sabre, — mais aussi avec de soudaines
8 1974, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La révolte des régions : l’État-nation contre l’Europe (mars 1974)
22 ion récente de quatre mouvements régionalistes en France a été suivie de déclarations passionnées quoique officielles, non pas
23 an, comme on eût pu s’y attendre, mais uniquement français , proclame encore que « le bien le plus précieux, c’est l’unité nation
24 té des « quarante rois qui en mille ans firent la France  », selon l’épigraphe de l’Action française reprise par M. Pompidou da
25 orrespondant à un espace territorial, à savoir la France  : quiconque change dans sa pensée le terme territorial de l’équation
26 séparatisme, qui se manifeste en Espagne comme en France , et en URSS comme dans le canton de Berne, est née des seuls excès de
9 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Le fédéralisme helvétique dans l’Europe d’aujourd’hui (24-25 juin 1979)
27 s ou lombards, souabes ou bourguignons, plus tard français . Ainsi, vingt-trois communautés, progressivement, s’organisent en can
28 comme le furent les « nations » primitives de la France , de la Grande-Bretagne et, dans une moindre mesure, de l’Espagne — ce
29 rnier mot. De grandes disputes se sont élevées en France sur le dilemme « fédération ou confédération ». La distinction entre
10 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
30 xistentielle », Hic et Nunc , qui introduisit en France , en 1932, les œuvres de Kierkegaard et de Karl Barth, mais aussi de H
31 des peuples européens, en Allemagne autant qu’en France , en Italie autant qu’en Hollande et en Belgique. Ils ont influencé pl
32 uis continentales. Vos réactions, quand la gauche française a annoncé son programme de décentralisation ? Je me suis dit : enfin 
33 de décentralisation ? Je me suis dit : enfin ! la France elle-même y vient ! Bien moins par conviction que par nécessité, il e
34 es cal­vinistes, qui tenaient la moitié sud de la France vers la fin du xvie siècle, sous la direction des princes du sang et
35 s après la première publication de cet ouvrage en France , je pense que les jeunes gens d’aujourd’hui ont les mêmes réactions q
36 rès-guerre, faut-il le préciser. 3. L’Idéologie française , de Bernard-Henri Lévy. 4. Voir Le Monde du 20 mai 1982. m. « L’amo
37 ès de la frontière franco-genevoise, mais du côté français , au pied du Jura, près de Saint-Genis-Pouilly, où il a rénové une gra