1
e est généralement « mal vue » de la majorité des
Français
. (Mais c’est peut-être, justement, parce qu’on la regarde mal ?) On e
2
istance et en gros, l’on peut croire que tous les
Français
, par exemple, traduisent les mêmes réalités ou les mêmes idéaux par l
3
rs. — 99e mille en moyenne). Musique et race ; La
France
et l’idée raciale ; Race, droit, peuple ; Race et état dans le domai
4
en question n’est nullement spécialisée, au sens
français
et scientifique du terme. Tous ces ouvrages sont des essais de vulgar
5
livre allemand, très supérieure à celle du livre
français
. Reste à savoir si cet énorme effort de propagande aboutit réellement
6
remplacé la mode — maîtresse des goûts moyens en
France
— par la volonté de l’État (Hitler, Goebbels et Rosenberg). Il peut d
7
ique, faite et scellée en deux coups de poing, la
France
, un mois durant, s’est énervée à discourir sur sa désunion. J’entends
8
mot dont on lui rebat les oreilles, le peuple de
France
, un beau jour, ne se décide à jouer sérieusement, — à jouer le jeu de
9
evoir l’union comme l’annexion d’une moitié de la
France
par l’autre, c’est la rendre irréalisable, dans l’état actuel des cho
10
force brutale. On voudra donc la fin des libertés
françaises
. Et pour sauver la France, on perdra les meilleures raisons de la déf
11
la fin des libertés françaises. Et pour sauver la
France
, on perdra les meilleures raisons de la défendre. Disons plus : on pe
12
tiquer Hitler, Staline, Mussolini. La force de la
France
n’est pas dans son union. Elle est dans sa capacité unique au monde d
13
jeu des plus franches oppositions. La force de la
France
est dans la création, et non pas dans la discipline ; dans l’inventio
14
a propre délivrance. Ce que le monde attend de la
France
, en vérité, ce n’est pas un Führer de plus, mais au contraire, c’est
15
donnant à un Führer. Ce que le monde attend de la
France
, c’est une audace libératrice. L’audace d’assumer tous les risques de
16
à Vienne. Avec vingt ans d’avance sur Hitler, la
France
va-t-elle enfin gagner sa paix ? ⁂ Ce n’est point sans raisons que je
17
ver d’un fascisme. Mais il s’agit de savoir si la
France
, réellement, saura retrouver l’usage concret et positif des libertés
18
doktor phil., et il voudrait se perfectionner en
français
, en attendant une situation. Il craint d’ailleurs de n’en point trouv
19
s comme ça, les ouvriers allemands. « Vous autres
Français
, me dit-il, vous ne rêvez que révolutions et émeutes. Vous ne savez p
20
Ils ont des canons, mais pas de beurre, dit-on en
France
d’un air malin. On oublie que le mot est de Goering lui-même. « Du be
21
aient que le socialisme y est mieux réalisé qu’en
France
: dès lors, les premiers verraient s’effondrer la meilleure raison de
22
examiner ici, il se trouve que la droite jouit en
France
, provisoirement et comme par accident, d’une plus grande liberté d’es