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il se rend plus directement accessible au lecteur
français
. Essayons de marquer les étapes de sa recherche. ⁂ Le protestantisme
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idualiste forcené, là comme ancêtre du « fascisme
français
» ! (au camarade Nizan l’honneur de la trouvaille.) Mais il eût certa
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rave lacune de la littérature kierkegaardienne en
France
. On ne saurait trop insister sur l’utilité de ce livre. Il rendra vai
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Groupes. Mais enfin, c’est le seul qui existe en
français
, et il contient un certain nombre de faits assez bouleversants pour q
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la réalité qu’un homme incarne. Qui le connaît en
France
? Claudel, quelques revues protestantes en ont parlé. C’est tout. Nos
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obiographique et romancé de sa jeunesse a paru en
français
, il y a deux ansf. Aujourd’hui, l’un de ses collaborateurs nous donne
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otestant. — Et Balzac ? dites-vous, car vous êtes
Français
. Eh bien, Balzac n’est pas tout le roman. Il n’est même pas tout le r
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as tout le roman. Il n’est même pas tout le roman
français
. Balzac, c’est le roman social. Balzac — et Stendhal, bien sûr — ce s
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Allemands, les Scandinaves, et le roman d’analyse
français
, de Rousseau jusqu’à Gide, en passant par Constant. Quand on parle du
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dernier argument. Prenez une liste des romanciers
français
contemporains. Vous y trouverez un bon quart de protestants, c’est-à-
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iez, puisqu’il n’y a qu’un million de réformés en
France
. Imaginez la proportion si l’édit de Nantes n’avait pas été révoqué !
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Une histoire de la Réforme en
France
(15 décembre 1934)h Certes, la grandeur d’une Église et sa force n
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uler devant sa monumentale Histoire de la Réforme
française
. Plus encore que le premier tome de cet ouvrage (des origines à l’édi
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voit incité à imaginer ce qu’il fut advenu de la
France
si l’édit avait été observé, s’il n’avait pas été révoqué, si Sully a
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rotestants ne fut pas l’œuvre du parti catholique
français
, mais bien des conseillers étrangers des rois et du haut clergé. Il s
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sein » qu’avait conçu Béthune pouvait faire de la
France
la première organisatrice d’une Europe fédéralisée. Mais le virus qu’
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cini ou un Ubaldini (nonce papal) introduisent en
France
au début du xviie siècle, c’est le virus de l’étatisme totalitaire,
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de l’étatisme totalitaire, c’est l’idée fort peu
française
de l’unité à tout prix et dans tous les ordres, au mépris de toutes l
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ces prétentions toutes nouvelles, les réformés de
France
ne cessèrent, dès le début, de dresser une protestation dont les term
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n’est pas peu dire. 10. Histoire de la Réforme
française
, tome II : De l’édit de Nantes à sa révocation, Librairie Fischbacher
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. h. « Une histoire de la Réforme protestante en
France
[recension de l’Histoire de la Réforme française de Camille Jullian]
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en France [recension de l’Histoire de la Réforme
française
de Camille Jullian] », t. II, Les Nouvelles littéraires, Paris, n° 63
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plus que Jean Wahl pour faire connaître à l’élite
française
la pensée de Søren Kierkegaard : c’est un titre qui compte, et dont l
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Ensuite, n’oublions pas que la plupart des écrits
français
de Calvin — c’est le cas de ces Trois traités — furent traduits par l
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M. Chuzeville nous révèle sont inconnus du public
français
, Novalis et Ruysbroeck mis à part ; et beaucoup sont de grands poètes
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out le siècle dernier avec ceux du protestantisme
français
. Maurras, lorsqu’il voulut s’en prendre aux réformés, ne trouva rien
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rasme (19 juin 1937)n Que sait-on de Luther en
France
? Qu’il rompu l’unité de l’Église. Mais dans quelles circonstances ?
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t été écrites, on n’en a pas traduit une seule en
France
! Quelques pages choisies, en appendice à une brève biographie ; une
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Denis de Rougemont connaît mieux que beaucoup de
Français
notre province : il a séjourné de longs mois en Vendée et dans le Mid
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s de partisans. Venue de Macédoine, elle gagna la
France
par le Piémont. Les cathares rejettent le dogme de l’incarnation, se
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de Rougemont est un écrivain suisse d’expression
française
… Je déteste cette formule ! Elle me fait penser à une sorte d’animal,
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irait, quand il ouvre la bouche, de s’exprimer en
français
plutôt qu’en miaulant ou en barrissant. Je suis un écrivain français,
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en miaulant ou en barrissant. Je suis un écrivain
français
, un point c’est tout. Il est l’auteur d’un certain nombre d’ouvrages
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t du diable et se liera avec plusieurs écrivains
français
. On décida que je serais moins gênant en Amérique qu’en Europe. À New
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Europe. À New York, je rédigeais les émissions en
français
de « La Voix de l’Amérique ». J’avais plusieurs équipes de speakers,
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ification pour nous que leur existence même. Mais
France
, Angleterre, Russie, ce seraient aussi de beaux noms. Lusitania aussi
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ne petite principauté placée entre les influences
françaises
et allemandes, ce qui est très suisse, par définition. 17 ans, c’est
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rit d’un essai d’une grande actualité intitulé La
France
et son armée, et dont l’auteur est un jeune lieutenant-colonel qui s’
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nations n’ont même pas cent ans d’âge. Seules la
France
, l’Angleterre et l’Espagne comptent plusieurs siècles. Même si l’on p
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rs siècles. Même si l’on peut admettre qu’un État
français
existe réellement depuis Philippe le Bel, il est absolument certain q
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lson — pas un seul des grands professeurs n’était
français
: ils étaient napolitain comme Thomas d’Aquin, pisan comme Bonaventur
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ent à l’aire de diffusion d’une langue. Prenez la
France
: on parle huit langues à l’intérieur de ses frontières actuelles ; b
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n, catalan et italien au sud, et naturellement le
français
, imposé comme seule langue officielle dès 1539 par l’édit de Villers-
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e dès 1539 par l’édit de Villers-Cotterêts. Si la
France
entendait revendiquer la Wallonie, la Suisse romande et le Val d’Aost
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dominantes de l’italien à la fin du Moyen Âge, du
français
au xviiie siècle, de l’allemand des philosophes et des savants au xi
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fier qu’on y parle italien des deux côtés au sud,
français
des deux côtés à la hauteur des vallées vaudoises et du Val d’Aoste,
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icatrices. Elles sont encore, disait un historien
français
, le résultat des « viols répétés de la géographie par l’histoire », c
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e Humboldt, au moment même où Napoléon fait de la
France
un désert culturel en mobilisant à Paris tous les esprits distingués