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ns types nationaux. On remarque par exemple qu’en
France
, l’admiration pour un philosophe s’exprime volontiers dans des termes
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le de jouer avec le mot de la façon suivante : le
Français
pèse le pour et le contre ; l’Allemand pèse sur les choses. D’où l’on
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l’on conclut encore que la pensée figure pour le
Français
une activité ordonnatrice ; pour l’Allemand, titanique. On fait alors
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ascal, un Rimbaud, véritable honneur de la langue
française
. Ainsi, un Nietzsche, qui le premier substitua délibérément la notion
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allemands (tant « Front Noir » que communistes),
français
et belges. Des délégués suisses y assistèrent, ainsi qu’un délégué fa
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Comment ce Proust passa-t-il presque inaperçu en
France
? Il renversait trop de théories à la mode, avec trop de dédain peut-
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leur origine spirituelle. Décadence de la nation
française
critique le nationalisme présent au nom de l’instinct qui relie l’hom
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e. N’est-ce pas d’ailleurs l’éthique que la jeune
France
se voit à peu près seule à défendre dans l’Europe d’aujourd’hui ? Dic
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ion la mission permanente, la raison d’être de la
France
. Peu de jours avant l’accident chirurgical qui devait entraîner sa mo
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et n’a de nom dans aucune langue ; surtout pas en
français
. Ce n’est pas notre faute si la France est, en effet, aujourd’hui com
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t pas en français. Ce n’est pas notre faute si la
France
est, en effet, aujourd’hui comme hier, la dernière écluse. Ce n’est p
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devons d’abord, aujourd’hui, nous appuyer sur la
France
. Il ne s’agit pas de défendre une idée ou une cité. Il ne s’agit pas