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arles-Quint, chez un Philippe II d’Espagne, et en
France
dans le parti des Guise, dans la Ligue. Plus tard, c’est ce même espr
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une foi, une loi, un roi. Et l’on célébrera « la
France
toute catholique sous le règne de Louis le Grand », c’est-à-dire la F
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ous le règne de Louis le Grand », c’est-à-dire la
France
« mise au pas » par l’homme qui dit : « l’État, c’est moi » ; la Fran
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par l’homme qui dit : « l’État, c’est moi » ; la
France
synchronisée, centralisée, déjà presque totalitaire, et vidée de ses
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c’est-à-dire fédéraliste. Les synodes réformés de
France
, vers la fin du xvie siècle, préconisèrent à plusieurs reprises des
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cratiques seulement, la Suisse, la Finlande et la
France
; et enfin trois semi-dictatures : Pologne, Hongrie et Portugal. (On
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vinistes, même laïcisés, comme c’est le cas de la
France
sous la Troisième République8. Cela ne signifie pas, bien entendu, qu
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dgenossen », ou Confédérés suisses. Les huguenots
français
voulaient la liberté religieuse d’abord, mais ils voulaient aussi, co
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mouvement des groupes personnalistes, répandus en
France
et en Suisse, et vingt autres mouvements analogues, tous animés de ce
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sse chez nos voisins non plus au nom de la droite
française
ou de la gauche allemande émigrée, mais au nom du principe fédéral qu
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esse suisse partisane, à la manière des partisans
français
ou allemands, n’est plus qu’une presse d’intérêt local. Là encore, no
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xemple on se met chez nous à l’école de la droite
française
et de sa politique particulière conditionnée par le nationalisme unit
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ait notre valeur propre dans la culture de langue
française
; et d’autre part, en nous refusant aux contacts et aux échanges, nou
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ontraint à formuler sa différence spécifique ? En
France
même, quoi de plus français — jusqu’à l’excès, voire jusqu’à la grima
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férence spécifique ? En France même, quoi de plus
français
— jusqu’à l’excès, voire jusqu’à la grimace — qu’un Barrès, constamme
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une autre « école suisse » qui domine les lettres
françaises
; après Rousseau : Constant et Staël, et toute la petite cour de Copp
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es. Il se peut que l’union déjà réalisée entre la
France
et l’Angleterre soit le germe d’une fédération. Il est certain que ce
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itutions. À cet égard, le mouvement personnaliste
français
(surtout le groupe de l’Ordre nouveau) me paraît avoir indiqué la seu
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plus ou moins contaminé par les mœurs politiques
françaises
. L’idée même de parti, d’ailleurs, est antisuisse, dans ce sens qu’el
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cas, notre politique reposerait sur une faute de
français
, j’en suis fâché. Ce n’est pas éternelle qu’il convient de dire, mais