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n, dans quelques mois les Russes l’auront, et les
Français
, ou les Danois peut-être. Et je ne connais pas un seul physicien qui
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entencieux, qui rappellerait l’état de la société
française
à la veille de la Révolution. Tout le monde voit les abus, le danger
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ffets moins directs, mais pourtant notables : les
Français
eussent mieux mangé, en 1944 et 1945, si les cargos alliés n’avaient
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e Persans pour se demander : Comment peut-on être
Français
?) Je parlais d’une conscience planétaire. C’est sa nécessité qu’il f
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s pour la première fois senti, sous le drapé d’un
français
riche et pur, battre le pouls mesuré de l’Asie, le cœur violent des A
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in ou par choix. Croyez-vous sérieusement que les
Français
cesseront de parler français, de créer leur culture, et d’habiter pai
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sérieusement que les Français cesseront de parler
français
, de créer leur culture, et d’habiter paisiblement leur terre, si la F
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ture, et d’habiter paisiblement leur terre, si la
France
renonce un beau jour, en même temps que toutes les autres nations, à
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es ? Et ne pensez-vous pas que si le gouvernement
français
n’a plus rien d’autre à faire qu’administrer le pays, il sera un meil
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rmées purement décoratives ? Vous me direz que la
France
, par exemple, est entrée dans la voie de l’étatisme parce qu’elle veu
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Or savez-vous ce que dit le texte grec, là où le
français
traduit « en un instant » ? Il dit en atomo, — dans un atome ! Et le