1 1948, Suite neuchâteloise. I
1 e étonné. Principauté prussienne et canton suisse français  ; traditions aristocratiques à peine éteintes (moins de cent ans) dan
2 ontagnes au nord et les rives latines au midi, la France à l’ouest, l’Alémanie à l’est ; — tout un petit monde si bien cerné,
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3 ouvrages publiés par des Rougemont en Suisse, en France et en Allemagne, entre 1830 et 1900. Et cela va d’un essai sur Socrat
4 âtelois, un Hollandais, deux Allemands, et quinze Français . (Du côté de ma mère, du sang prussien, et de nouveau du sang françai
5 ma mère, du sang prussien, et de nouveau du sang français .) Mon arrière-grand-père épouse une Française, puis une Anglaise ; s
6 ang français.) Mon arrière-grand-père épouse une Française , puis une Anglaise ; son frère, une Française, puis une Allemande. Et
7 une Française, puis une Anglaise ; son frère, une Française , puis une Allemande. Et des trois autres branches de leur famille, au
8 ut du xixe siècle, deux sont en train de devenir françaises et une anglaise. Voilà peut-être un résumé assez fidèle des influence
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9 nait sans doute d’avoir été jadis, pour la police française , un dénommé « Lassagne, Neuchâtelois », vint s’enfermer au lendemain
4 1948, Suite neuchâteloise. VIII
10 onnu, l’accent le plus navrant de tout le domaine français , de Québec à Menton, de Bruxelles à Port-Bou. Je ne vais pas m’occupe
11 rt-Bou. Je ne vais pas m’occuper de nos fautes de français , elles sont moins graves, et je ne crois pas que nous en commettions