1 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
1 omas Mann, en passant par le romantisme allemand, français et anglais, on sait assez la fortune littéraire de cette forme d’amou
2 Valéry définissait le génie. La belle traduction française de Philippe Jaccottet s’intitule : L’Homme sans qualités. 21. Ailleu
2 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
3 la tragédie (1869-1872), p. 137, 207, 208, trad. française , Mercure de France. 42. L’Origine de la tragédie, p. 190-191. 43.
4 tanien dans son nationalisme. Son Iseut, c’est la France , il est bien près de le dire en plus d’une page de ses mémoires, et p
5 seulement aux premières phrases où il compare la France à la « princesse des contes…, vouée à une destinée éminente et except
6 es susciter s’ils semblent faire défaut. Entre la France et lui, quand il était le plus fort — Tristan plus fort que le roi Ma
3 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
7 est l’opposant (comme on le croit généralement en France ). Les gênes fécondes qu’il demandait jadis qu’on rende à l’art, la « 
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
8 aint-John Perse, Keyserling, C. J. Burckhardt. La France l’ignore encore, malgré trois traductions80 qui suffiraient à résumer
9 l’œuvre Ces premiers textes de Kassner, lus en français dans une précieuse et simple traduction81, lorsque j’essaie de me rem
10 dans le premier article, je crois bien, publié en France sur Kassner — « l’acuité lente de la réflexion, l’alliage précieux de
11 non du point de vue littéraire comme on le fit en France , mais du point de vue des valeurs vitales (problème que notre xviie
12 ue in the cheek — quelle serait donc l’expression française  ? — amusé de retrouver en moi cette persistance du premier choc reçu
13 t cette œuvre difficile et mal connue (surtout en France ) par l’un de ses aspects les plus particuliers, j’entends par sa rela
14 vert le zen qu’à partir de 1954 ! 91. Traduction française par Geneviève Bianquis dans Évocations et paraboles, Plon, Paris, 195