1
g du Vardar et du Danube, jusqu’en Rhénanie et en
France
, d’autre part du delta du Nil, le long des côtes, remontant le Rhône
2
p. 76 : « La grande enquête de 1328 attribue à la
France
le même chiffre de population que celui proposé par Vauban… à la fin
3
aspers, Nietzsche et le christianisme, traduction
française
par Jeanne Hersch, Éditions de Minuit, Paris, 1949. Voir aussi mon A
4
L’Aube de la civilisation européenne, traduction
française
Payot, Paris, 1949. 9. Sur l’étymologie d’Europe, cf. mes Vingt-hui
5
ann, L’Homme à la découverte du monde, traduction
française
Plon, Paris, 1954.)
6
giés huguenots qui créeront les fameuses gazettes
françaises
diffusées dans l’Europe entière, en dépit des censures de l’absolutis
7
es Maritain, de Paul Tillich et de Karl Barth, un
Français
, un Allemand et un Suisse, trois noms qui se confondent en Europe ave
8
dans les nations les plus centralisées, comme la
France
, le mouvement de restauration des compétences communales se prononce
9
ge est à Paris, et ses principaux animateurs sont
Français
(MM. J. Chaban-Delmas, maire de Bordeaux, et G. Deferre, maire de Mar
10
ontraire d’un Anglais, d’ailleurs décrété citoyen
français
par la même Convention, le célèbre économiste Jeremy Bentham : c’est
11
Ligue helvétique », d’autre part l’abandon par la
France
et la Grande-Bretagne de toutes leurs coûteuses « dépendances d’outre
12
discours qu’il prononce à l’Assemblée législative
française
en 1851 ; je cite le journal officiel : M. Hugo. — Le premier peuple
13
e longues épreuves, cette révolution a enfanté en
France
la république… Le peuple français a taillé dans un granit indestructi
14
tion a enfanté en France la république… Le peuple
français
a taillé dans un granit indestructible et posé au milieu même du cont
15
aris, il s’était écrié : Un jour viendra où vous
France
, vous Russie, vous Italie, vous Angleterre, vous Allemagne, vous tout
16
ace, toutes nos provinces se sont fondues dans la
France
. Un jour viendra où il n’y aura plus d’autres champs de bataille que
17
llemagne, ce que l’assemblée législative est à la
France
!… Un jour viendra où l’on verra ces deux groupes immenses, les États
18
a pour capitale Paris, et ne s’appellera point la
France
; elle s’appellera l’Europe. Elle s’appellera l’Europe au xxe siècle
19
uples qui chantent avant d’aller s’entretuer. Les
Français
et les Allemands chanteront bientôt.40 On sait la suite. Car cette
20
rit en 1308, en latin, cité d’après la traduction
française
de B. Landry, Alcan, Paris, 1933. 23. Pierre Dubois, De recuperation
21
ilippe de Comines, où il est annoncé par ce titre
français
: Traité d’alliance et confédération entre le roy Louis IX, Georges r
22
nion qu’il propose : « … de ce travail urgent, la
France
et l’Allemagne doivent prendre la direction ensemble. La Grande-Breta
23
es. Je cite le directeur des affaires culturelles
françaises
, qui disait en janvier de cette année : Au Cambodge, toute la jeunes
24
année : Au Cambodge, toute la jeunesse parle le
français
, alors que dans la génération des hommes de quarante à cinquante ans,
25
e l’élite sait notre langue… On n’apprend plus le
français
dans ces pays parce qu’on y est obligé, mais parce qu’on a besoin de
26
ar exemple. C’est en Allemagne, en Angleterre, en
France
, en Suisse, que les techniques industrielles ont pris le départ à l’o
27
nde et l’Occident, par Arnold Toynbee, traduction
française
, Paris, 1953. — Georges Sorel disait en 1908 : « L’Europe est par exc
28
recensements accomplis en 1961, comme celui de la
France
, on estimera ces chiffres trop faibles de quelques millions. Quant à
29
d’habitants, dont 20 000 à peine sont libres. La
France
y a un établissement sur la côte. La colonisation de cet heureux pay
30
vinciales. Quand il écrit Europe, il ne pense que
France
, et quand il pense France, il ne voit que le drame algérien. « Quitto
31
Europe, il ne pense que France, et quand il pense
France
, il ne voit que le drame algérien. « Quittons notre province, je veux