1
ul Dautry, administrateur général du Commissariat
français
pour l’énergie atomique, précisa et compléta le projet ; dans sa séan
2
lemande, italienne, danoise, suisse, hollandaise,
française
et autres ont fait pendant quarante ans. Si maintenant l’éclat de leu
3
ticle de M. Jean Thibaud, directeur de l’Institut
français
de physique atomique. « Dans le domaine de la physique, écrit-il, des
4
i parfaites conditions que le nouvel observatoire
français
de Saint-Michel de Provence et muni de télescopes et d’un équipement
5
et aux Écoles de physique de Grande-Bretagne, de
France
, du Danemark, d’Italie qui disposent chacune de savants de qualité ma
6
es scientifiques. Une résolution présentée par la
France
et le Danemark a préconisé la réunion d’une conférence de savants pou
7
n de la culture, président de séance3 ; P. Auger (
France
), directeur du Département des sciences exactes et naturelles de l’Un
8
onsiglio Nazionale delle Ricerche ; Raoul Dautry (
France
), administrateur général du Commissariat à l’énergie atomique ; André
9
Commissariat à l’énergie atomique ; André George (
France
), du Commissariat à l’énergie atomique ; Max von Laue (Allemagne), pr
10
titre d’exemple, et sans engager le gouvernement
français
, M. Auger précise qu’une dépense annuelle de 2 millions de dollars (s
11
années) aurait probablement paru acceptable à la
France
, qui avait basé ses premiers calculs sur des estimations plus élevées
12
gne de l’Ouest — Autriche — Belgique — Danemark —
France
— Grèce — Italie — Luxembourg — Norvège — Pays-Bas — Royaume-Uni — Su
13
La Commission a entendu une jeune mathématicienne
française
, Mlle Morette, ancienne élève d’Oppenheimer à Princeton, qui est en t
14
mer à Princeton, qui est en train d’organiser, en
France
, un cours d’été de deux mois où une vingtaine de jeunes physiciens ch
15
t dessinés en rouge, l’un en Suisse et l’autre en
France
, de part et d’autre de la route Genève-Saint-Genis. C’est le site qui
16
de palabres, et qui a été récemment étendu — côté
français
— à l’occasion de la construction du « Super-CERN ». Seule, l’exterri
17
occasion du débat du 6 juillet 1954, à la Chambre
française
, sur la ratification de la convention pour l’établissement du CERN, l
18
l’automne 1946, le porte-parole de la délégation
française
auprès du Conseil économique et social des Nations unies, Henri Laugi
19
on de Genève, je reçus 3 millions de francs de la
France
et 50 000 francs belges. C’était assez pour faire fonctionner les gro
20
ment, il y a 25 ans, par un Conseil des ministres
français
que l’exposé de Robert Schuman avait comme à dessein endormi) ; ni la
21
ns fédérées. Appendice : Un débat à la Chambre
française
en 19547 Extraits du Journal officiel de la République français
22
Extraits du Journal officiel de la République
française
, Assemblée nationale, Séance du mardi 6 juillet 1954. Discussion du
23
enté sera bienfaisant pour l’avenir de la science
française
. » (p. 3227) Au nom du parti communiste, M. Georges Cogniot présente
24
our le CERN serait affecté à un institut purement
français
. Il s’élève contre le projet du CERN, « institution qui échappe à la
25
é nationale » (p. 3228). Il ajoute : « La science
française
est exsangue, elle a besoin d’une transfusion, et le Centre européen
26
acher l’absence totale de protection des intérêts
français
dans la nouvelle entreprise cosmopolite, on nous a dit beaucoup de ch
27
ous a dit et répété qu’il s’agit d’une initiative
française
… La vérité historique est que l’idée du Centre a été conçue en 1949 p
28
The Last Trump , Doubleday, New York, 1947. En
français
: Lettres sur la bombe atomique, Brentano’s, New York, 1946, puis Ga