1 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
1 rs colonnes parus dans les principaux journaux de France , de Suisse, de Belgique, d’Italie, d’Allemagne et de Grande-Bretagne,
2 nauté européenne de défense (CED) présenté par la France aux cinq autres pays de la CECA et aussitôt accepté par eux, mais fin
3 ux, mais finalement refusé par les parlementaires français , nationalistes et communistes réunis. L’échec de la CED a marqué la p
4 emand : « Cette petite Europe n’est qu’une grande France  » (le socialiste K. Schumacher), et du côté français : « C’est une Eu
5 rance » (le socialiste K. Schumacher), et du côté français  : « C’est une Europe grande-allemande » (ex-président du Conseil Édou
6 danois ou italiens ; obliger, enfin, le fabricant français à affronter à armes égales la concurrence du fabricant allemand ou it
2 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’économie
7 ravail diminue le temps des loisirs (l’expression française « métro-boulot-dodo » le dit très bien) ; — les possibilités d’éducat
8 s 1960, en ce qui concerne la Grande-Bretagne, la France , la Hollande et la Belgique. Le Portugal devait suivre un peu plus ta
9 iciens employés dans l’industrie pétrochimique en France s’est accru de 150 %, mais celui des ouvriers a diminué de 28 % à 6 %
10 ux tiers des emplois d’ouvriers forestiers ; — en France seule, dans les Postes, 150 000 emplois sont mis en cause par l’inven
3 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’énergie
11 d’énergie hydraulique ni d’énergie nucléaire ; la France n’a plus beaucoup de charbon ni de gaz, mais une forte capacité hydra
12 ites aux USA, au Canada, en Grande-Bretagne et en France font prévoir qu’un état de pénurie — c’est-à-dire d’épuisement des ré
13 même probable, que les surgénérateurs projetés en France , en Grande-Bretagne et en RFA puissent être construits. Mentionnons l
14 fs de plusieurs conseils généraux et régionaux en France , de cantons et de communes en Suisse, de Länder en RFA, de l’Autriche
15 l’interview du directeur général d’Électricité de France (EDF) publiée par Le Monde du 24 janvier 1975. 13. Ce sera peut-être
16 manifestes publiés par des savants du Collège de France à Paris, du CERN à Genève, de l’ensemble de la France : 400, 1200, 40
17 ce à Paris, du CERN à Genève, de l’ensemble de la France  : 400, 1200, 4000 signatures. 15. Voir le Rapport de la commission d
18 apport de la commission des Finances du Parlement français , n° 3131, septembre 1977, qui élimine d’une manière décisive cet argu
19 r général de « Framatome », société qui assure en France la construction des centrales PWR sous licence Westinghouse. (Revue I
4 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’environnement
20 am par exemple, il faudrait un milliard de francs français par an. Comment trouver cette somme dans un budget déjà si lourdement
5 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Les régions
21 destine des régionalistes en Europe de l’Est.) En France , attentats au plastic en Bretagne et en Corse ; en Grande-Bretagne, m
22 dominante dans l’État national (la castillane, la française , l’anglaise, la wallonne, la piémontaise et la lombarde, etc.), cette
23 le Mezzogiorno, la Sardaigne, le Sud-Ouest de la France , ou la Calotte du Nord (cercle polaire), sont définies en tant que pr
24 a Regio basiliensis vise à grouper des Alsaciens ( français ), des Badois (allemands), et des Bâlois (suisses) qui voisinent sur l
25 Rhin de seize centrales nucléaires (six tranches françaises , cinq suisses, cinq allemandes), dont le moins qu’on puisse dire est
26 la Hollande, de la Belgique, du Luxembourg, de la France et de la Suisse. Elles englobent parfois des districts relevant de tr
27 toriques et l’érudition locale. C’est ainsi qu’en France , le félibrige, mouvement essentiellement culturel animé en Provence p
28 s, tout italiennes existent dans la Botte, toutes françaises peuvent se déclarer dans le Centre, le Sud-Ouest, la Franche-Comté… I
29 est que les communautés linguistiques allemandes, françaises , italiennes, ladines ou romanches, qui cohabitent dans les cantons de
30 ses et annexées par leurs ancêtres, à savoir — en France  : la Bretagne, le Pays basque, l’Occitanie, le Roussillon catalan, la
31 — régions — fédération : même avenir. 24. Le français imposé à l’Occitanie des troubadours n’était encore qu’une langue mil
32 rg, avril 1978. 29. Cf. Alain Peyrefitte, Le Mal français , Paris, 1977. 30. The Ecologist, special on the Future of America,
6 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. La défense de l’Europe
33 ion des Européens. Proposée par des hommes d’État français , la CED avait été acceptée par tous les autres pays du Marché commun.
34 Elle fut finalement refusée par le seul Parlement français , à la suite de la coalition entre gaullistes et communistes, au nom d
35 dans la région Europe : les potentiels sont de 1 ( France et Grande-Bretagne) à 15 (URSS). b) La supériorité écrasante du pacte
36 sur l’Europe des Neuf et même sur l’OTAN (dont la France est sortie librement) quant aux forces conventionnelles : OTA
37 il s’agisse de la RFA, du Luxembourg, voire de la France ou de la Grande-Bretagne. 2.La crise Les auteurs militaires d’u
38 b) Le général Steinhoff, contrairement au général français P. Gallois, ne croit pas que « chaque nation, à l’instar de la France
39 e croit pas que « chaque nation, à l’instar de la France , puisse assurer sa propre défense ». (Que ferait le Luxembourg ? dema
40 « forces atomiques de dissuasion » britannique et française . Réponse de la majorité des auteurs et critiques militaires : l’arme
41 i ne lui en ferait avec la petite force nucléaire française et anglaise. Il semble bien qu’une force de frappe nationale ne puiss
7 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Annexes
42 as — 0,6 ; Royaume-Uni — 0,6 ; — Belgique + 8,4 ; France + 8,9 ; Italie + 9,9 ; Luxembourg + 15,5 ; Danemark + 15,5. Annex
43 tés culturelles, coutumières et linguistiques. En France , le général de Gaulle a été le premier à déclarer que la formule de d