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rs colonnes parus dans les principaux journaux de
France
, de Suisse, de Belgique, d’Italie, d’Allemagne et de Grande-Bretagne,
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nauté européenne de défense (CED) présenté par la
France
aux cinq autres pays de la CECA et aussitôt accepté par eux, mais fin
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ux, mais finalement refusé par les parlementaires
français
, nationalistes et communistes réunis. L’échec de la CED a marqué la p
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emand : « Cette petite Europe n’est qu’une grande
France
» (le socialiste K. Schumacher), et du côté français : « C’est une Eu
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rance » (le socialiste K. Schumacher), et du côté
français
: « C’est une Europe grande-allemande » (ex-président du Conseil Édou
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danois ou italiens ; obliger, enfin, le fabricant
français
à affronter à armes égales la concurrence du fabricant allemand ou it
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ravail diminue le temps des loisirs (l’expression
française
« métro-boulot-dodo » le dit très bien) ; — les possibilités d’éducat
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s 1960, en ce qui concerne la Grande-Bretagne, la
France
, la Hollande et la Belgique. Le Portugal devait suivre un peu plus ta
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iciens employés dans l’industrie pétrochimique en
France
s’est accru de 150 %, mais celui des ouvriers a diminué de 28 % à 6 %
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ux tiers des emplois d’ouvriers forestiers ; — en
France
seule, dans les Postes, 150 000 emplois sont mis en cause par l’inven
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d’énergie hydraulique ni d’énergie nucléaire ; la
France
n’a plus beaucoup de charbon ni de gaz, mais une forte capacité hydra
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ites aux USA, au Canada, en Grande-Bretagne et en
France
font prévoir qu’un état de pénurie — c’est-à-dire d’épuisement des ré
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même probable, que les surgénérateurs projetés en
France
, en Grande-Bretagne et en RFA puissent être construits. Mentionnons l
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fs de plusieurs conseils généraux et régionaux en
France
, de cantons et de communes en Suisse, de Länder en RFA, de l’Autriche
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l’interview du directeur général d’Électricité de
France
(EDF) publiée par Le Monde du 24 janvier 1975. 13. Ce sera peut-être
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manifestes publiés par des savants du Collège de
France
à Paris, du CERN à Genève, de l’ensemble de la France : 400, 1200, 40
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ce à Paris, du CERN à Genève, de l’ensemble de la
France
: 400, 1200, 4000 signatures. 15. Voir le Rapport de la commission d
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apport de la commission des Finances du Parlement
français
, n° 3131, septembre 1977, qui élimine d’une manière décisive cet argu
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r général de « Framatome », société qui assure en
France
la construction des centrales PWR sous licence Westinghouse. (Revue I
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am par exemple, il faudrait un milliard de francs
français
par an. Comment trouver cette somme dans un budget déjà si lourdement
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destine des régionalistes en Europe de l’Est.) En
France
, attentats au plastic en Bretagne et en Corse ; en Grande-Bretagne, m
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dominante dans l’État national (la castillane, la
française
, l’anglaise, la wallonne, la piémontaise et la lombarde, etc.), cette
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le Mezzogiorno, la Sardaigne, le Sud-Ouest de la
France
, ou la Calotte du Nord (cercle polaire), sont définies en tant que pr
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a Regio basiliensis vise à grouper des Alsaciens (
français
), des Badois (allemands), et des Bâlois (suisses) qui voisinent sur l
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Rhin de seize centrales nucléaires (six tranches
françaises
, cinq suisses, cinq allemandes), dont le moins qu’on puisse dire est
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la Hollande, de la Belgique, du Luxembourg, de la
France
et de la Suisse. Elles englobent parfois des districts relevant de tr
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toriques et l’érudition locale. C’est ainsi qu’en
France
, le félibrige, mouvement essentiellement culturel animé en Provence p
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s, tout italiennes existent dans la Botte, toutes
françaises
peuvent se déclarer dans le Centre, le Sud-Ouest, la Franche-Comté… I
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est que les communautés linguistiques allemandes,
françaises
, italiennes, ladines ou romanches, qui cohabitent dans les cantons de
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ses et annexées par leurs ancêtres, à savoir — en
France
: la Bretagne, le Pays basque, l’Occitanie, le Roussillon catalan, la
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— régions — fédération : même avenir. 24. Le
français
imposé à l’Occitanie des troubadours n’était encore qu’une langue mil
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rg, avril 1978. 29. Cf. Alain Peyrefitte, Le Mal
français
, Paris, 1977. 30. The Ecologist, special on the Future of America,
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ion des Européens. Proposée par des hommes d’État
français
, la CED avait été acceptée par tous les autres pays du Marché commun.
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Elle fut finalement refusée par le seul Parlement
français
, à la suite de la coalition entre gaullistes et communistes, au nom d
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dans la région Europe : les potentiels sont de 1 (
France
et Grande-Bretagne) à 15 (URSS). b) La supériorité écrasante du pacte
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sur l’Europe des Neuf et même sur l’OTAN (dont la
France
est sortie librement) quant aux forces conventionnelles : OTA
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il s’agisse de la RFA, du Luxembourg, voire de la
France
ou de la Grande-Bretagne. 2.La crise Les auteurs militaires d’u
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b) Le général Steinhoff, contrairement au général
français
P. Gallois, ne croit pas que « chaque nation, à l’instar de la France
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e croit pas que « chaque nation, à l’instar de la
France
, puisse assurer sa propre défense ». (Que ferait le Luxembourg ? dema
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« forces atomiques de dissuasion » britannique et
française
. Réponse de la majorité des auteurs et critiques militaires : l’arme
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i ne lui en ferait avec la petite force nucléaire
française
et anglaise. Il semble bien qu’une force de frappe nationale ne puiss
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as — 0,6 ; Royaume-Uni — 0,6 ; — Belgique + 8,4 ;
France
+ 8,9 ; Italie + 9,9 ; Luxembourg + 15,5 ; Danemark + 15,5. Annex
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tés culturelles, coutumières et linguistiques. En
France
, le général de Gaulle a été le premier à déclarer que la formule de d