1
liques de l’Appenzell et banquiers protestants de
Genève
, n’ont pas empêché l’unification nationale de la France, de l’Allemag
3
entre européen de la culture. Celui-ci se fonde à
Genève
en l950. Nous y reviendrons. En 1949, un Congrès européen de la cultu
4
nucléaires (fondé en 1953 sous le nom de CERN, à
Genève
.) Le Conseil de l’Europe, issu d’une résolution du congrès de La Haye
5
Fondation européenne de la culture a été créée à
Genève
en 1954, et opère depuis cette année à Amsterdam. Enfin, la bibliogra
6
Dès février 1949, un Bureau d’études s’ouvrait à
Genève
, chargé d’élaborer le travail de l’institution projetée, et d’organis
7
le programme du CEC L’institution fut inaugurée à
Genève
le 7 octobre 1950. Elle n’est rattachée à aucune organisation interna
8
thard suisse ; ou encore, ses produits destinés à
Genève
par la Souabe et la France plutôt que par les routes suisses traversa
9
ortait un commentaire dû à la plume du délégué de
Genève
, Pellegrino Rossi24. Il vaut la peine d’en citer quelques passages, q
10
andolle) pouvait s’écrier en 1832 au Parlement de
Genève
: « Que veulent les partisans du nouveau Pacte ?… Une république fédé
11
mitifs d’Appenzell des patriciens cosmopolites de
Genève
; ils sont moins nombreux, et souvent, de moins ancienne tradition na
12
écembre 1954, au Centre européen de la culture, à
Genève
, les statuts de la Fondation étaient signés par MM. Robert Schuman, a
13
ère du Conseil des gouverneurs, le 11 mai 1955, à
Genève
, S. A. R. le prince Bernhard des Pays-Bas voulut bien accepter la pré
14
rtager une partie de ses locaux et de son staff à
Genève
. Les frais généraux purent ainsi être réduits au minimum. Ce régime p
15
ge d’Europe. Lors de la réunion des gouverneurs à
Genève
, le 16 mars 1957, il fut convenu que la Fondation établirait son sièg
16
opérations à Amsterdam, le siège social restant à
Genève
. (C’est en effet le Conseil fédéral suisse qui est l’autorité de surv
17
s, l’avion qui devait l’amener n’ayant pu quitter
Genève
à cause du brouillard. C’est donc en son absence que M. Guiette a rap
18
et imaginatif au Centre européen de la culture, à
Genève
, qu’il ne devait quitter qu’un an avant sa mort. Je parlerai de sa pe
19
elle, un peu clandestine, que nous poursuivions à
Genève
. Une espèce de rêve impérial d’autorité sans pouvoir apparent passait
20
a Dans l’ouvrage si opportun que La Tribune de
Genève
vient de publier, M. Jon Kimche parle beaucoup des mouvements de rési
21
ucille. aa. « Journal d’un témoin », Tribune de
Genève
, Genève, n° 145, 23-24 juin 1962, p. 1. Précédé du chapeau suivant :
22
aa. « Journal d’un témoin », Tribune de Genève,
Genève
, n° 145, 23-24 juin 1962, p. 1. Précédé du chapeau suivant : « Nos le
23
résistance : Journal d’un témoin II », Tribune de
Genève
, Genève, n° 146, 25 juin 1962, p. 1. Précédé du chapeau suivant : « J
24
ce : Journal d’un témoin II », Tribune de Genève,
Genève
, n° 146, 25 juin 1962, p. 1. Précédé du chapeau suivant : « Juin 1940
25
juin 1940 : Journal d’un témoin III », Tribune de
Genève
, Genève, n° 147, 26 juin 1962, p. 1. Précédé du chapeau suivant : « D
26
0 : Journal d’un témoin III », Tribune de Genève,
Genève
, n° 147, 26 juin 1962, p. 1. Précédé du chapeau suivant : « Denis de
27
r l’ampleur des succès nazis (voir La Tribune de
Genève
des 23 et 25 juin). Rappelons, pour la compréhension de cet article,
28
1536. Après un séjour à Ferrare, il est retenu à
Genève
par Guillaume Farel et invité à y organiser l’Église. Chassé par les
29
n s’en va à Strasbourg, où il se marie. Rappelé à
Genève
en 1540, il y reste jusqu’à sa mort, qui survient le 27 mai 1564. Œu
30
e « petit livret », comme il l’appelle. Passant à
Genève
par hasard, il comptait n’y rester qu’une nuit. Mais là, « maître Gui
31
ois ans s’écoulent et sa pensée mûrit, mais voilà
Genève
qui le rappelle. « Contre mon désir et affection la nécessité me fut
32
arlant dans une ville assiégée, qu’il s’agisse de
Genève
où l’on veille aux remparts de l’Église harassée par la persécution,
33
art. Enfin, loin d’avoir instauré la théocratie à
Genève
, comme le répète l’ignorance commune, Calvin a créé le modèle d’une é