1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 st une question de foi. 1. Une enquête faite à Genève a révélé que les livres les plus lus du grand public sont Ma vie et m
2 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
2 uivi des études de lettres à Neuchâtel, Vienne et Genève . Il a collaboré à diverses revues suisses et françaises. Il prépare t
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
3 eux, viennent de tout l’Orient. « On pense à une Genève de l’islam. » Il semble, à lire notre auteur, que ce mélange de repré
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
4 erce, la Nouvelle Revue française , la Revue de Genève . Diverses études lui ont été consacrées, en particulier dans la Revu
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
5 n attente. Selon lui, c’est un « André Gide vu de Genève  » qu’il nous faudrait. M. Martinet a pris pour épigraphe la citation
6 ment il y aurait lieu à une manière de Loti vu de Genève . Loti appartient à ce pays de Saintonge, qui, si la force de l’unité
7 vait ce qu’il fallait pour devenir une manière de Genève maritime, de Hollande atlantique : le maire Guiton, le héros, avec Ro
8 ait penser qu’il existe bel et bien un Loti vu de Genève , non pas sous la forme d’un ouvrage complet, mais d’un essai très fou
9 uvent sans les connaître. Et « le point de vue de Genève  » — c’est-à-dire protestant — nous paraît avoir doué ceux qui le prof