1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
1 st paradoxal. 11. Les livres les plus répandus à Genève sont Ma vie et mon œuvre de Ford et Mon curé chez les riches. Très lo
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
2 Y. Z., qui, dans un petit article du Journal de Genève sur « La maladie du siècle », écrit : « Plante des pommes de terre,
3 ité, et comme M. Albert Muret dont le Journal de Genève parlait naguère, tu mangeras avec appétit une poule au riz arrosée d
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
4 llet 1927)q Nous passons la main au central de Genève , fidèles à la tradition — en ceci au moins. Nous nous retirons : et c
5 nsolèrent de tout le reste.   Et maintenant voici Genève et son mystère. Car chaque année, renaissant des décombres où s’anéan
6 nt imprévisible. Que nous apportera le Central de Genève  ? Tout est possible : la guerre et la paix, la tradition, l’anarchie,
7 lus blasés. Lecteur, fais confiance au Central de Genève . Souviens-toi de la grandeur de ses traditions et ne va pas ajouter à
4 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
8 non, trop bien élevée, elle se ressaisit, pense à Genève , reprend aussitôt de la consistance, et dans son trouble apparaît tou