1
grand écrivain français pourtant ; et de celle de
Georges Sorel
? Et même de celle de Nietzsche, sans qui Gide et tant d’autres nous
2
dans notre époque sont celles de Nietzsche et de
Georges Sorel
: elles s’accordent au plus mal avec le style de la pensée marxiste.
3
s n’a été qu’à peine entamée par des hommes comme
Georges Sorel
, Gustave Le Bon ou H. de Keyserling. Des éléments valables peuvent êt
4
à l’aube du siècle : Les Illusions du progrès, de
Georges Sorel
. Puis on se mit à citer Bergson, réclamant un supplément d’âme pour c
5
ocqueville à Jacob Burckhardt, de Donoso Cortés à
Georges Sorel
, tous ont décrit depuis cent ans les motifs de craindre le pire pour
6
Le dernier mot, sur cette évolution, sera dit par
Georges Sorel
, quelques années avant la catastrophe annoncée par les grands histori
7
niveleurs » de Heine. 34. Jean Variot, Propos de
Georges Sorel
, Paris, 1935. p. Rougemont Denis de, « Le nationalisme et l’Europe
8
ation. Voici les textes qui jalonnent, de Heine à
Georges Sorel
, cette double évolution des idées et des faits, en divergence vertigi
9
de l’Europe. En revanche, de Joseph de Maistre à
Georges Sorel
, en passant par Proudhon et Renan, la critique virulente et hautaine
10
criminel, le témoin le plus cynique et lucide fut
Georges Sorel
(1857-1922). Ses Réflexions sur la Violence passent pour avoir exercé
11
wige Wiederkunft ». 262. Jean Variot : Propos de
Georges Sorel
, Paris, 1935. 263. Cf., p. 288. 264. Jules Romains, Les Hommes de B
12
ssait rester indemne, attendant son heure… Enfin,
Georges Sorel
, dans un de ses Propos datés de 1912 : L’Europe, ce cimetière, est p
13
s) sur le même thème. 40. Jean Variot, Propos de
Georges Sorel
, Paris, 1935. 41. Paul Valéry, Variété I, La Crise de l’esprit (écri
14
old Toynbee, traduction française, Paris, 1953. —
Georges Sorel
disait en 1908 : « L’Europe est par excellence la terre des cataclysm
15
à l’aube du siècle : Les Illusions du progrès, de
Georges Sorel
. Puis on se mit à citer Bergson, réclamant un supplément d’âme pour c
16
es du même temps, Jakob Burckhardt, Nietzsche, ou
Georges Sorel
, n’a rien pu contre le désastre où devaient s’abîmer tant de millions
17
c’étaient en politique Proudhon, le jeune Marx et
Georges Sorel
, en philosophie Kierkegaard, Nietzsche, Heidegger et Péguy, mais auss
18
queville à Jacob Burckhardt et de Donoso Cortés à
Georges Sorel
, tous ont décrit depuis cent ans les motifs de craindre le pire pour
19
queville à Jacob Burckhardt et de Donoso Cortès à
Georges Sorel
, tous ont décrit depuis cent ans les motifs de craindre le pire pour
20
Tocqueville à Jacob Burckhardt et de Nietzsche à
Georges Sorel
, pour ne citer que les plus grands noms. Certes, ils ont tous nourri