1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 ue de céder à vous, désirs, et d’être vaincu sans bataille . On voit assez à quel genre de sophismes conduit ce mouvement de l’es
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
2 Eiichi décida que, de ce jour-là, il entrerait en bataille contre cet ordre de choses. Il se délivre progressivement de tous se
3 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
3 uelle. « Le combat spirituel est aussi dur que la bataille d’hommes », écrit Rimbaud. Mais le bourgeois qui ne s’en doute guère
4 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
4 son train, des sciences, des faits et gestes, des batailles , des accidents, des inventions, des religions, des êtres, si ce savoi
5 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
5 à-vis de la Nature. 12. Mais on peut dire que la bataille qu’imaginait ce capitaine était en somme son état d’âme, et qu’un éta
6 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
6 e travail, qui pourrait bien devenir le cheval de bataille des mouvements de gauche. « Primauté du spirituel », nous retrouvons
7 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
7 d de la mer pour célébrer la liberté. Sa ligne de bataille s’étend. Il crée l’Union des paysans. Il évangélise. Il devient le « 
8 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — VI. Note sur un certain humour
8 n paradoxe et l’humour de sa lutte. L’issue de la bataille , il peut bien la prévoir fatale, mais elle ouvre une autre espérance,
9 tre espérance, celle-là même qui l’a jeté dans la bataille , et qu’il rejoint. ⁂ Notre enjeu est ailleurs, si tout se joue ici. C
9 1934, Politique de la personne. Appendice — 3. Groupements personnalistes
10 l, qui pourrait, qui devrait devenir le cheval de bataille des mouvements de gauche. L’organisation du service civil est l’objet
10 1934, Politique de la personne (1946). Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — VI. Note sur un certain humour
11 n paradoxe et l’humour de sa lutte. L’issue de la bataille , il peut bien la prévoir fatale, mais elle ouvre une autre espérance,
12 tre espérance, celle-là même qui l’a jeté dans la bataille , et qu’il rejoint. ⁂ Notre enjeu est ailleurs, si tout se joue ici.
11 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 4. Qu’est-ce que la politique ?
13 -vous, c’est un jeu beaucoup plus impur, c’est la bataille des intérêts, des orgueils et des appétits. Selon leur tempérament, l
12 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
14 sociales, on a trop oublié dans les remous de la bataille qu’à travers un nouvel ordre économique, c’est l’homme et sa libérati
13 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
15 rètes, toute sa tactique enfin, s’oriente vers la bataille , et non pas vers la révolution réelle. Et non pas vers la création ;
14 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
16 t : « Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes. » Lui. — Et pour ceux qui n’arrivent pas si haut ? Pour la
15 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
17 -vous, c’est un jeu beaucoup plus impur, c’est la bataille des intérêts, des orgueils et des appétits. Selon leur tempérament, l
16 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — IV. Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
18 sme enthousiaste, c’est elle qui gagnera la vraie bataille . Et la Révolution française, à la considérer dans ses aboutissements
17 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
19 son train, des sciences, des faits et gestes, des batailles , des accidents, des inventions, des religions, des êtres, si ce savoi
18 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — IV. Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
20 sme enthousiaste, c’est elle qui gagnera la vraie bataille . Et la Révolution française, à la considérer dans ses aboutissements
19 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
21 son train, des sciences, des faits et gestes, des batailles , des accidents, des inventions, des religions, des êtres, si ce savoi
20 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
22 oute la vie politique. Il suffira de rappeler les batailles que livrèrent sénateurs et chevaliers pour la possession des tribunau
21 1937, Esprit, articles (1932–1962). Retour de Nietzsche (mai 1937)
23 ’avec toute autre doctrine politique66. Mais pour Bataille et ses amis, l’« acéphalité » est aussi une doctrine métaphysique ant
24 vois plus, pour ma part, dans les déclarations de Bataille que de la littérature (parfois belle d’ailleurs). Ce qui résulte le p
22 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
25 a remise. Un beau soleil luit sur ce lendemain de bataille . Pendant des heures, la petite chienne Marquise — c’est la mère du ba
23 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
26 e et de visage intelligent, la chevelure noire en bataille qu’il saisit à pleines mains dans les moments pathétiques. Il annonce
24 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
27 a remise. Un beau soleil luit sur ce lendemain de bataille . Pendant des heures, la petite chienne Marquise — c’est la mère du ba
25 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
28 e et de visage intelligent, la chevelure noire en bataille qu’il saisit à pleines mains dans les moments pathétiques. Il annonce
26 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
29 ? Parce qu’au cours des journées qui précèdent la bataille , Napoléon a découvert la vie concrète d’un pays et des êtres dont c’e
30 venant à ses origines, au moment où le sort de la bataille vacille, il a retrouvé soudain le cri de la Révolution : Vive la Nati
27 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
31 . C’est sur ce terrain-là — non sur des champs de bataille hypothétiques — que nous devons organiser nos résistances. ⁂ Le total
28 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
32 t : « Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes. » Lui. — Et pour ceux qui n’arrivent pas si haut ? Pour la
33 artialité. Un général qui étudie le terrain de sa bataille décisive n’est pas précisément ce qu’on nomme impartial, mais s’il es
34 toute ignorance d’Hitler. Vous, déserteurs de la bataille économique, vous qui exportez vos capitaux, l’homme que vous admirez
29 1939, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Faire le jeu d’Hitler (1er janvier 1939)
35 voque) : « Un général qui étudie le terrain de sa bataille décisive n’est pas précisément ce qu’on nomme impartial, mais s’il es
30 1939, L’Amour et l’Occident. Livre premier. Le mythe de Tristan
36 contre eux-mêmes ? Et ne peut-on vraiment livrer bataille qu’à l’adversaire qu’on porte en soi ? J’avoue que j’ai moi-même épro
31 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
37 ar l’ordre social, — ce fut le théâtre de Dumas à Bataille . La fameuse « pièce à trois personnages », modèle de presque tous les
32 1939, L’Amour et l’Occident. Livre V. Amour et guerre
38 t empruntées d’une façon très précise à l’art des batailles , à la tactique militaire de l’époque. Il ne s’agit plus, désormais, d
39 as que le combat de l’amour soit comme les autres batailles où la fureur et le fracas d’une guerre épouvantable sévit des deux cô
40 éal chevaleresque, mais dans la conduite même des batailles , et jusque dans la politique. Le formalisme militaire revêt à cette é
41 ngleterre va à la rencontre des Français avant la bataille d’Azincourt. Par erreur, le soir, il dépasse le village que les fourr
42 vernent le tournoi et la chasse167 ». L’Arbre des Batailles d’Honoré Bonet est un traité sur le droit de guerre où l’on trouve di
43 -on tenu de la rendre ? — Est-il permis de livrer bataille un jour de fête ? — Vaut-il mieux se battre après les repas ou à jeun
44 . Celle-ci se heurte dès le début du xve siècle ( bataille d’Azincourt) à des réalités de plus en plus brutales et matérielles q
45 es deux chefs en présence) ; l’idée de régler les batailles d’après un protocole quasi sacral ; la conception ascétique de la vie
46 pas, il fallait se résoudre à batailler. Mais une bataille , dit Machiavel, n’offrait alors aucun danger : « On combat toujours à
47 — villes ou places fortes — alors vient la grande bataille  : du sommet de quelque coteau, où lui apparaît tout le terrain du com
48 urice de Saxe écrit : « Je ne suis point pour les batailles , surtout au début d’une guerre. Je suis persuadé qu’un bon général po
49 ant en venir aux mains, ce sera du moins pour une bataille « rangée », un siège « en règle », et la tradition chevaleresque dans
50 des campagnes de la Révolution et de l’Empire. La bataille de Valmy fut gagnée par la passion contre la « science exacte ». C’es
51 lliés. On connaît le mot de Goethe, au soir de la bataille  : « De ce lieu, de ce jour, date une ère nouvelle dans l’histoire du
52 puis d’Autriche, d’autre part. Un certain type de bataille correspond à la séduction de Joséphine — c’est le coup d’audace de l’
53 es au point décisif, et bluffe ; un autre type de bataille correspond au mariage dynastique avec l’archiduchesse Marie-Louise — 
54 ns intérêt non plus de noter que Waterloo fut une bataille perdue par excès de science, peut-être, ou par défaut d’élan national
55 compte du facteur passionnel dans la conduite des batailles . D’où ce cri d’un des généraux qu’il venait de battre en Italie : « I
56 partir de Verdun, que les Allemands baptisent la Bataille du matériel (Materialschlacht), il semble que le parallélisme institu
57 re maître : on se bornait à réduire ses défenses. Bataille rangée contre une armée de métier, siège des ouvrages fortifiés, capt
33 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
58 c, il se montra farouche et irrité. Ils en firent bataille par les plaines herbues… L’analogie avec Tristan est très frappante.
34 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
59 econnaît : puissant, massif, les cheveux noirs en bataille , le geste large et le sourire généreux, voici Honegger, le musicien.
35 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
60 erre ! Tous. Sonnez le cor épouvantable des batailles Et notre bras vous soutiendra. Nicolas (à genoux). —  Mon Seigneu
36 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
61 donne un sens et un nom, comme « victoire » et «  bataille de la Marne ». Le sonnet sera critiquable si l’ordre des rimes et des
37 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre premier. Le mythe de Tristan
62 contre eux-mêmes ? Et ne peut-on vraiment livrer bataille qu’à l’adversaire qu’on porte en soi ? J’avoue que j’ai moi-même épro
38 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
63 par l’ordre social — ce fut le théâtre de Dumas à Bataille . La fameuse « pièce à trois personnages », modèle de presque tous les
39 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
64 t empruntées d’une façon très précise à l’art des batailles , à la tactique militaire de l’époque. Il ne s’agit plus, désormais, d
65 as que le combat de l’amour soit comme les autres batailles où la fureur et le fracas d’une guerre épouvantable sévit des deux cô
66 éal chevaleresque, mais dans la conduite même des batailles , et jusque dans la politique. Le formalisme militaire revêt à cette é
67 ngleterre va à la rencontre des Français avant la bataille d’Azincourt. Par erreur, le soir, il dépasse le village que les fourr
68 vernent le tournoi et la chasse185 ». L’Arbre des Batailles d’Honoré Bonet est un traité sur le droit de guerre où l’on trouve di
69 -on tenu de la rendre ? — Est-il permis de livrer bataille un jour de fête ? — Vaut-il mieux se battre après les repas ou à jeun
70 . Celle-ci se heurte dès le début du xve siècle ( bataille d’Azincourt) à des réalités de plus en plus brutales et matérielles q
71 es deux chefs en présence) ; l’idée de régler les batailles d’après un protocole quasi sacral ; la conception ascétique de la vie
72 pas, il fallait se résoudre à batailler. Mais une bataille , dit Machiavel, n’offrait alors aucun danger : « On combat toujours à
73 — villes ou places fortes — alors vient la grande bataille  : du sommet de quelque coteau, où lui apparaît tout le terrain du com
74 urice de Saxe écrit : « Je ne suis point pour les batailles , surtout au début d’une guerre. Je suis persuadé qu’un bon général po
75 ant en venir aux mains, ce sera du moins pour une bataille « rangée », un siège « en règle », et la tradition chevaleresque dans
76 des campagnes de la Révolution et de l’Empire. La bataille de Valmy fut gagnée par la passion contre la « science exacte ». C’es
77 lliés. On connaît le mot de Goethe, au soir de la bataille  : « De ce lieu, de ce jour, date une ère nouvelle dans l’histoire du
78 puis d’Autriche, d’autre part. Un certain type de bataille correspond à la séduction de Joséphine — c’est le coup d’audace de l’
79 es au point décisif, et bluffe ; un autre type de bataille correspond au mariage dynastique avec l’archiduchesse Marie-Louise — 
80 ns intérêt non plus de noter que Waterloo fut une bataille perdue par excès de science, peut-être, ou par défaut d’élan national
81 compte du facteur passionnel dans la conduite des batailles . D’où ce cri d’un des généraux qu’il venait de battre en Italie : « I
82 partir de Verdun, que les Allemands baptisent la Bataille du matériel (Materialschlacht), il semble que le parallélisme institu
83 re maître : on se bornait à réduire ses défenses. Bataille rangée contre une armée de métier, siège des ouvrages fortifiés, capt
40 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
84 contre eux-mêmes ? Et ne peut-on vraiment livrer bataille qu’à l’adversaire qu’on porte en soi ? J’avoue que j’ai moi-même épro
41 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
85 par l’ordre social — ce fut le théâtre de Dumas à Bataille . La fameuse « pièce à trois personnages », modèle de presque tous les
42 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre V. Amour et guerre
86 t empruntées d’une façon très précise à l’art des batailles , à la tactique militaire de l’époque. Il ne s’agit plus, désormais, d
87 as que le combat de l’amour soit comme les autres batailles où la fureur et le fracas d’une guerre épouvantable sévit des deux cô
88 éal chevaleresque, mais dans la conduite même des batailles , et jusque dans la politique. Le formalisme militaire revêt à cette é
89 ngleterre va à la rencontre des Français avant la bataille d’Azincourt. Par erreur, le soir, il dépasse le village que les fourr
90 gouvernent le tournoi et la chasse. » L’Arbre des Batailles d’Honoré Bonet est un traité sur le droit de guerre où l’on trouve di
91 -on tenu de la rendre ? — Est-il permis de livrer bataille un jour de fête ? — Vaut-il mieux se battre après les repas ou à jeun
92 . Celle-ci se heurte dès le début du xve siècle ( bataille d’Azincourt) à des réalités de plus en plus brutales et matérielles q
93 es deux chefs en présence) ; l’idée de régler les batailles d’après un protocole quasi sacral ; la conception ascétique de la vie
94 pas, il fallait se résoudre à batailler. Mais une bataille , dit Machiavel, n’offrait alors aucun danger : « On combat toujours à
95 — villes ou places fortes — alors vient la grande bataille  : du sommet de quelque coteau, où lui apparaît tout le terrain du com
96 urice de Saxe écrit : « Je ne suis point pour les batailles , surtout au début d’une guerre. Je suis persuadé qu’un bon général po
97 ant en venir aux mains, ce sera du moins pour une bataille « rangée », un siège « en règle », et la tradition chevaleresque dans
98 des campagnes de la Révolution et de l’Empire. La bataille de Valmy fut gagnée par la passion contre la « science exacte ». C’es
99 lliés. On connaît le mot de Goethe, au soir de la bataille  : « De ce lieu, de ce jour, date une ère nouvelle dans l’histoire du
100 puis d’Autriche, d’autre part. Un certain type de bataille correspond à la séduction de Joséphine — c’est le coup d’audace de l’
101 es au point décisif, et bluffe ; un autre type de bataille correspond au mariage dynastique avec l’archiduchesse Marie-Louise — 
102 ns intérêt non plus de noter que Waterloo fut une bataille perdue par excès de science, peut-être, ou par défaut d’élan national
103 compte du facteur passionnel dans la conduite des batailles . D’où ce cri d’un des généraux qu’il venait de battre en Italie : « I
104 partir de Verdun, que les Allemands baptisent la Bataille du matériel (Materialschlacht), il semble que le parallélisme institu
105 re maître : on se bornait à réduire ses défenses. Bataille rangée contre une armée de métier, siège des ouvrages fortifiés, capt
43 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
106 c, il se montra farouche et irrité. Ils en firent bataille par les plaines herbues… L’analogie avec Tristan est très frappante.
44 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
107 omme devant Dieu. 15. Vers du Biccocalied. À la bataille de la Bicoque, les lansquenets s’étaient dissimulés dans des tranchée
45 1940, Tapuscrits divers (1936-1947). Quelle heure est-il ? (1940)
108 perçoit qu’elle est indispensable. Nos héros, nos batailles et nos vertus civiques, ce sont pour nous des souvenirs scolaires, en
46 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
109 La bataille de la culture (janvier-février 1940)c d Le fait même que nous épro
110 prétextes matériels, qu’un épisode tragique d’une bataille bien plus vaste, la millénaire bataille de la culture. L’adversaire
111 que d’une bataille bien plus vaste, la millénaire bataille de la culture. L’adversaire est en nous Mais d’abord, essayons d
112 rd, essayons d’écarter un malentendu menaçant. La bataille dont je vais vous parler n’est pas une bataille politique. Les advers
113 a bataille dont je vais vous parler n’est pas une bataille politique. Les adversaires ne sont nullement les actuels belligérants
114 s énumérer les premiers succès remportés, dans la bataille de la culture moderne, par l’esprit créateur sur l’esprit fataliste.
115 de la cité et de la culture, ce sera toujours une bataille . Entre l’esprit de lourdeur, comme disait Nietzsche, et les forces de
116 e : « Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes, mais la vision de la justice est le plaisir de Dieu seul. »
117 r de Dieu seul. » c. Rougemont Denis de, « La bataille de la culture », Les Cahiers protestants, Lausanne, janvier–février 1
47 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
118 utralité, voilà notre rôle stratégique dans cette bataille des doctrines. Nous l’avons constaté, à propos de la neutralité, ce s
48 1940, Mission ou démission de la Suisse. Avertissement
119 ce qu’il est. Vient ensuite une conférence sur la Bataille de la culture : synthèse rapide des éléments sociaux, culturels et sp
49 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
120 La bataille de la culture13 Lorsque je me mis à réfléchir à ce que je vous dir
121 se ; — ou bien la culture est action, création et bataille réelle, et alors il faut en parler, et la défendre et l’illustrer pré
122 prétextes matériels, qu’un épisode tragique d’une bataille bien plus vaste, la millénaire bataille de la culture. L’adversaire
123 que d’une bataille bien plus vaste, la millénaire bataille de la culture. L’adversaire est en nous S’il y a bataille, c’est
124 a culture. L’adversaire est en nous S’il y a bataille , c’est donc qu’il y a deux adversaires. Quels sont-ils ? Mais d’abord
125 rd, essayons d’écarter un malentendu menaçant. La bataille dont je vais vous parler n’est pas une bataille politique. Les advers
126 a bataille dont je vais vous parler n’est pas une bataille politique. Les adversaires ne sont nullement les actuels belligérants
127 s ; attaquer ses ennemis en nous ; voilà la vraie bataille dont j’entends vous parler. Or cet adversaire intérieur, je ne voudra
128 s énumérer les premiers succès remportés, dans la bataille de la culture moderne, par l’esprit créateur sur l’esprit fataliste.
129 de la cité et de la culture, ce sera toujours une bataille . Entre l’esprit de lourdeur, comme disait Nietzsche, et les forces de
130 e : « Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes, mais la vision de la justice est le plaisir de Dieu seul. »
50 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
131 utralité, voilà notre rôle stratégique dans cette bataille de doctrines. Nous venons de le constater, à propos de la neutralité 
51 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
132 tique des maux prochains. J’écris ceci pendant la bataille de France. Est-il trop tard pour répéter ces vérités élémentaires, qu
52 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
133 tique des maux prochains. J’écris ceci pendant la bataille de France. Est-il trop tard pour répéter ces vérités élémentaires, qu
134 n livre Mission ou démission de la Suisse (« La bataille de la culture. ») 9. Comme le fait Paul Reynaud devant le Sénat à l’
53 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
135 utieuse et la discipline civique qui ont gagné la bataille de Morgarten contre une « division cuirassée » de 8000 cavaliers répu
54 1942, La Part du diable. Troisième partie. Le diable démocrate
136 le Mal aussi est en nous, et que le champ de leur bataille n’est pas ailleurs que dans nos cœurs. Cette éducation a largement éc
55 1942, La Part du diable. Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
137 ’issue et le jugement. Si nous perdons toutes nos batailles , le destin de Satan n’en est pas moins scellé. Tout ce qui nous est d
56 1942, La Part du diable (1944). Troisième partie. Le diable démocrate
138 le Mal aussi est en nous, et que le champ de leur bataille n’est pas ailleurs que dans nos cœurs. Cette éducation a largement éc
57 1942, La Part du diable (1944). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
139 ’issue et le jugement. Si nous perdons toutes nos batailles , le destin de Satan n’en est pas moins scellé. Tout ce qu’il nous est
58 1942, La Part du diable (1982). Troisième partie. Le diable démocrate
140 le Mal aussi est en nous, et que le champ de leur bataille n’est pas ailleurs que dans nos cœurs. Cette éducation a largement éc
59 1942, La Part du diable (1982). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
141 ’issue et le jugement. Si nous perdons toutes nos batailles , le destin de Satan n’en est pas moins scellé. Tout ce qui nous est d
60 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
142 hacun livre son vrai combat. III. — Pendant la bataille des Flandres En Suisse, 24 mai 1940. Poste militaire à la frontièr
143 jusqu’à l’aube… Un quart de tour, nouvelles de la bataille des Flandres, c’est la fin d’un communiqué, régions perdues encore, r
144 vons vivre encore… À quoi pensent-ils, ceux de la bataille  ? Ont-ils de ces retours soudains vers des moments de tendresse banal
61 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IX : « Nous sommes tous coupables » (10 décembre 1943)
145 le Mal aussi est en nous, et que le champ de leur bataille n’est pas ailleurs que dans nos cœurs. Cette éducation a largement éc
62 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
146 ment mobilisée — combat en fait sur les champs de bataille . Seule une fraction de cette fraction connaît le corps à corps, la ba
147 on de cette fraction connaît le corps à corps, la bataille d’hommes. Qu’aimons-nous donc tous dans la guerre, que nous soyons ci
63 1944, Les Personnes du drame. Note de l’auteur
148 sous presse en mai 1940, lorsque se déclencha la bataille de France. Le manuscrit et la composition typographique ont disparu.
64 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : Post-scriptum (27 avril 1946)
149 , c’est-à-dire jouera militairement le rôle d’une bataille décisive. Elle supprimera donc les scrupules de l’agresseur éventuel.
65 1946, Combat, articles (1946–1950). Post-scriptum (24 mai 1946)
150 , c’est-à-dire jouera militairement le rôle d’une bataille décisive. Elle supprimera donc les scrupules de l’agresseur éventuel.
66 1946, Lettres sur la bombe atomique. Appendice II. Point de vue d’un général
151 n actuelle de l’armement devient absurde. Dans la bataille “atomique”, le nombre des combattants est réduit à un strict minimum.
67 1946, Lettres sur la bombe atomique. Appendice III. La guerre des gaz n’a pas eu lieu
152 à-dire qu’elle jouera militairement le rôle d’une bataille décisive. Elle supprimera donc les scrupules de l’agresseur éventuel.
68 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
153 rs, ne seront occupées qu’à clamer, la cravate en bataille , des résolutions farouchement patriotiques ou républicaines jusqu’à l
69 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
154 blocs militaires. 1. Vers du Biccocalied. À la bataille de la Bicoque, les lansquenets s’étaient dissimulés dans des tranchée
70 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
155 jusqu’à l’aube… Un quart de tour, nouvelles de la bataille des Flandres, c’est la fin d’un communiqué, régions perdues encore, r
156 ions vivre encore… À quoi pensent-ils, ceux de la bataille  ? Ont-ils de ces retours soudains vers des moments de tendresse banal
71 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
157 au centre du conflit tout en restant en marge des batailles . Ce que je voudrais dire de la Suisse n’est donc pas sans me concerne
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
158 e et de visage intelligent, la chevelure noire en bataille qu’il saisit à pleines mains dans les moments pathétiques. Il annonce
73 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Deuxième partie. Pauvre province
159 a remise. Un beau soleil luit sur ce lendemain de bataille . Pendant des heures, la petite chienne Marquise — c’est la mère du ba
74 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
160 t : « Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes. » Lui. — Et pour ceux qui n’arrivent pas si haut ? Pour la
161 artialité. Un général qui étudie le terrain de sa bataille décisive n’est pas précisément ce qu’on nomme impartial, mais s’il es
162 toute ignorance d’Hitler. Vous, déserteurs de la bataille économique, vous qui exportez vos capitaux, l’homme que vous admirez
75 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
163 l’Amour et la guerre au Collège de sociologie de Bataille et Caillois, et un long article sur l’hitlérisme, d’après mes notes d
76 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
164 jusqu’à l’aube… Un quart de tour, nouvelles de la bataille des Flandres, c’est la fin d’un communiqué, régions perdues encore, r
165 ions vivre encore… À quoi pensent-ils, ceux de la bataille  ? Ont-ils de ces retours soudains vers des moments de tendresse banal
166 l’édition de 1968. 75. Vers du Biccocalied. À la bataille de la Bicoque, les lansquenets s’étaient dissimulés dans des tranchée
77 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
167 it un art réglé au Moyen Âge (tournois, champs de bataille délimités, conventions méticuleuses déterminant à certains signes le
78 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le mauvais temps qui vient
168 au centre du conflit tout en restant en marge des batailles . Ce que je voudrais dire de la Suisse n’est donc pas sans me concerne
79 1947, Vivre en Amérique. IV. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
169 urs ne seront occupées qu’à clamer, la cravate en bataille , des résolutions farouchement patriotiques, ou républicaines jusqu’à
80 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
170 tiennent à la pointe du combat se nomment Sartre, Bataille , Breton… Après l’autre guerre, ce n’avait pas été ainsi. C’est, me se
81 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
171 onnés, est un résultat décisif. Il se peut que la bataille la plus dure pour l’unité européenne ait été gagnée à La Haye, même s
82 1948, Articles divers (1948-1950). Pourquoi l’Europe ? (25 décembre 1948)
172 s), ces vigilants de fer ne sont pas là. Quand la bataille devient sérieuse, ils ne sont pas doublement présents, ils sont simpl
83 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
173 s), ces vigilants de fer ne sont pas là. Quand la bataille devient sérieuse, ils ne sont pas doublement, présents, ils sont simp
174 i-même. C’est le plus sûr moyen d’en trouver. Une bataille est en train de se livrer pour l’Europe. Nous l’avons provoquée, nous
84 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le Conseil international du Mouvement européen (25 février 1949)
175 ns. Ils se succèdent avec la même cadence que les batailles pendant la guerre, — et cette comparaison peut nous donner à réfléchi
176 chir. Car chacun de nos congrès européens est une bataille , un bombardement de l’opinion — pour faire la paix. Une bataille cont
177 mbardement de l’opinion — pour faire la paix. Une bataille contre l’inertie, le scepticisme, le découragement, une bataille cont
178 l’inertie, le scepticisme, le découragement, une bataille contre les égoïsmes nationaux, une bataille, enfin et surtout, contre
179 , une bataille contre les égoïsmes nationaux, une bataille , enfin et surtout, contre toutes les fatalités qui nous préparent irr
85 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
180 mmes donc arrivés à pied d’œuvre. Ici commence la bataille décisive. Objectifs immédiats L’effort du Mouvement européen, a
86 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Un bel été (19 septembre 1949)
181 mportance de ce qu’on voit de près. Au soir de la bataille de Valmy, où l’armée improvisée des sans-culottes venait de battre l’
87 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
182 ai dit ici, au mois d’avril — le vrai début de la bataille décisive. Il était raisonnable de prévoir que la première session ser
88 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Lenteurs et progrès (15 mai 1950)
183 en ; mes intérêts ou ma doctrine, c’est mieux. La bataille est ouverte. Notre bataille à tous. Seule, la pression accrue de l’op
184 rine, c’est mieux. La bataille est ouverte. Notre bataille à tous. Seule, la pression accrue de l’opinion publique qui veut la p
89 1950, Lettres aux députés européens. Première lettre
185 modifier non pas des paragraphes mais l’ordre de bataille de l’Armée rouge.
90 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
186 modifier non pas des paragraphes, mais l’ordre de bataille de l’armée rouge. p. Rougemont Denis de, « Lettre aux députés euro
91 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)
187 modifier non pas des paragraphes, mais l’ordre de bataille de l’Armée rouge. n. Rougemont Denis de, « Messieurs, n’oubliez p
92 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Un Conseil européen de vigilance (13 novembre 1950)
188 militants. Voici en quelques mots, notre ordre de bataille , c’est-à-dire la composition de nos troupes, face à l’Assemblée. L’U
93 1951, Articles divers (1951-1956). Faire la propagande de la liberté, c’est sauver notre culture (décembre 1950-janvier 1951)
189 r publiquement notre part bien définie dans cette bataille commune est un acte de propreté, un acte vital aussi pour notre pensé
94 1952, Articles divers (1951-1956). La Suisse et l’Europe : M. Denis de Rougemont réagit (14 novembre 1952)
190 it » protestants et catholiques sur les champs de bataille de Villmergen et du Sonderbund… À ce taux-là, la France et l’Allemagn
95 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
191 et pour intensifier son offensive. Après un an de bataille , il succomba. Il avait osé l’acte ; il avait réussi : l’usurpation s’
96 1953, La Confédération helvétique. Chapitre I. Le peuple et son histoire
192 cours de plusieurs expéditions foudroyantes. À la bataille de Novare (1509), le roi François Ier fut complètement battu. Mais à
193 ints de quitter le terrain après deux jours d’une bataille géante pour l’époque. Leur retraite, lente et solennelle — ils emport
97 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en mai 1954 : L’Europe bloquée (mai 1954)
194 on du monde va se concentrer sur le théâtre d’une bataille où l’Occident désormais joue perdant. Le monde entier verra nos défai
98 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
195 visible pour la presse, pas une crise et pas une bataille modifiant le rapport des forces ; pas un seul événement politique qui
196 on du monde va se concentrer sur le théâtre d’une bataille où l’Occident, désormais, joue perdant. Le monde entier verra nos déf
99 1954, Articles divers (1951-1956). Ce petit cap de l’Asie (1er juin 1954)
197 on du monde va se concentrer sur le théâtre d’une bataille où l’Occident désormais joue perdant. Le monde entier verra nos défai
100 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
198 ération du nationalisme Goethe, assistant à la bataille de Valmy, s’écriait : « De ce lieu, de ce jour, on datera l’ère nouve
199 s ! » aussitôt exaucé, puisque par ce seul cri la bataille sera gagnée. La nation à l’état naissant, comme nous la trouvons à Va
200 Ceci dit, les fédéralistes doivent-ils engager la bataille sur le thème de « l’abandon des souverainetés » ? Je ne le crois pas,