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’ai pu emporter de Paris, il y avait le Journal d’
André Gide
. Chaque fois que j’en relis quelques pages, je suis frappé par le sou
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es pages, je suis frappé par le souci qu’y montre
Gide
d’une écriture durable et d’une œuvre d’avenir. Il n’accepte de rompr
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adition de la langue, à son génie le plus vivace.
Gide
craint d’inclure l’actualité dans un ouvrage, parce que c’est elle qu
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qui le lendemain n’existe pas, remarquait encore
André Gide
. Dans ce sens élargi du mot, mais en retirant à l’épithète toute qual