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l’Avenir de l’Europe. » (Cf. les deux réponses d’
André Gide
en particulier). Car la plupart des enquêtés se font de l’Orient une
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, un cynique secrètement tourmenté qui enchantera
M. Gide
. n. « Hugh Walpole : La Cité secrète (Perrin, Paris) », Bibliothèqu
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fondeur : c’est une unité d’inquiétude. Barrès et
Gide
: ils ont construit des édifices très différents de style, et dont le
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raît chez les émules de Barrès comme chez ceux de
Gide
, qu’il faut préciser. L’éthique et l’esthétique convergent dans la li
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d’une évolution qui a son origine dans l’œuvre de
Gide
. Entre les Nourritures terrestres, les Caves du Vatican et Dada, il y
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plupart des romans de jeunes qui se situent entre
Gide
et Aragon nous montrent le même personnage : un être sans foi, à qui
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ui restera caractéristique de notre époque. Mais
Gide
est responsable d’une autre méthode de culture de soi, « d’intensific
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r que M. Fernandez aborde par ce biais l’œuvre de
Gide
, qui plus qu’aucune autre me paraît liée à cette confusion. Mais s’il
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1927)ac « Quel admirable sujet de roman, écrit
Gide
, au bout de quinze ans, de vingt ans de vie conjugale, la décristalli
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ns de prudence mais aussi de lucidité. Séduit par
Gide
; admirant Maurras sans l’aimer ; saluant en Valéry une réussite uniq
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ns d’aujourd’hui. Il constate que l’une (celle de
Gide
) ne fait que différer notre inquiétude, tandis que l’autre « ne ruine
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du « comte ». D’autres que lui s’y sont trompés.
M. Gide
déclarait naguère qu’il fallait voir en Lautréamont « le maître des é