1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 onsentement immédiat à toute impulsion spontanée ( Gide ), ou « perpétuel effort pour créer son âme telle qu’elle est » (Riviè
2 s sincères sont aussi les moins calculés », écrit Gide . D’où l’on peut tirer par une sorte de passage à la limite que les fa
3 en premier lieu à la spontanéité. C’est pourquoi Gide écrit ailleurs : « En chaque être, le pire instinct me paraissait le
4 mpose plus laid que nature. Faut-il conclure avec Gide  : « L’analyse psychologique a perdu pour moi tout intérêt du jour où
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
5 cette indispensable « part de Dieu » — comme dit Gide — qui serait aussi la part de l’humain, l’imperfection secrète qui fa
3 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
6 e en vérité moins généreuse que ne veut le croire M. Gide , — si pareil entre les griffes de son égoïsme à la souris qu’un chat