1 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
1 s le soleil s’il n’était de nature solaire », dit Goethe . Une telle parole devance notre science, qui lentement la redécouvre,
2 r féconde aux temps du romantisme et de la vie de Goethe , qui devait aboutir, en passant par Wagner, à la théorie des correspo
3 ont les plus illustres physionomistes des idées ? Goethe et Nietzsche, ces deux lointains et quelque peu méfiants admirateurs
4 nos préjugés culturels !) Il y a du démiurge chez Goethe . (Souvenons-nous de son Prométhée). Vit-on jamais pareille faculté d’
5 actions, symboles ; et tout est vision créatrice. Goethe est un œil. Et le chant de Lyncée sur sa tour — c’est le chant du bon
6 ux douloureux de Nietzsche, non moins que ceux de Goethe , surent voir en toutes choses « le charme éternel » qui les crée. Ouv