1 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
1 létarisée La pensée ne vaut rien pour penser. Goethe . L’exigence fondamentale Toute œuvre qui ne met pas en question
2 il ne faudra plus les confondre. Il y a Pascal et Goethe , Dostoïevski et Kierkegaard, — il y a aussi les fins lettrés, les bon
3 èces de serrurerie. Si la pensée, selon le mot de Goethe , ne vaut rien pour penser, il convient d’ajouter ici, dans le même se
4 olutionnaire un pâle frénétique qui vous condamne Goethe pour n’avoir pas, cette fois, renoncé assez tôt. Cent autres faits au