1
« urgents » que pose l’attitude des conservateurs
anglais
, des socialistes allemands, des radicaux français, des dirigistes, de
2
me, tout en adhérant cyniquement à l’Unesco ; une
Angleterre
qui se croit encore une île ; une Autriche occupée, et pillée par les
3
ment est tout à fait autre chose que la somme des
Anglais
. L’Europe est une culture, une civilisation : c’est-à-dire un système
4
s et monarchistes, est livrée aux communistes. La
Grande-Bretagne
, ayant refusé l’Europe au nom de l’Empire et de l’amitié des USA, voi
5
fut rédigé le dernier jour par un Français et un
Anglais
, et reçut aussitôt l’approbation de tons les membres de la réunion.
6
me par ceux qui ne désirent pas y participer (les
Anglais
) ; et qu’enfin son heure a sonné, si jamais signal clair fût donné pa
7
vre est claire : fixer la France d’abord, puis la
Grande-Bretagne
et les États-Unis, sur l’imbroglio des guerres locales d’Extrême-Orie
8
iose hurluberlu — aux yeux des partis — a sauvé l’
Angleterre
et l’Occident. Une morale religieuse a permis la réussite sociale des
9
ux personnes privées, de revues officielles », en
anglais
, français ou russe. 4. « Favoriser l’échange de livres, revues et jou
10
un nombre de points du projet de la France, de la
Grande-Bretagne
et des États-Unis » — ceux qui n’affectent pas « le régime intérieur
11
ande, travaille dans les constructions navales en
Angleterre
, est reçu à Riga, Königsberg et Vienne, puis plus tard en Espagne et
12
velle ; il se pénètre du génie de la France, de l’
Angleterre
, de l’Allemagne, de l’Espagne, de l’Italie, afin qu’aucune région de
13
ueniev ou un Tchékhov ont été lus en France ou en
Angleterre
n’est pas quelque chose que l’on puisse assimiler à un simple engouem
14
pays d’Europe, surtout de France, d’Allemagne, d’
Angleterre
, mais aussi du monde scandinave, d’Espagne et d’Italie. Un Ibsen, un
15
sse), Ignazio Silone (Italie) et Stephen Spender (
Angleterre
). Malgré l’affluence des manuscrits, le jury ne trouva pas cette fois
16
lacune. Trois éditions différentes, en français,
anglais
, allemand. Distribution gratuite et droit de reproduction libre. Dans
17
omité exécutif provisoire, formé de représentants
anglais
, hollandais, scandinaves, allemands, français et italiens, élus par l
18
s-uns acceptent — le projet de marché commun. Les
Anglais
eux-mêmes se réchauffent, et leurs ministres les préparent, avec prud
19
’îles qui comptent dans le monde actuel et que la
Grande-Bretagne
est une partie de l’Europe. Adenauer proclame que l’Europe fédérée a
20
n (avril 1957)at Chacun sait que les victoires
anglaises
sont nées sur le gazon d’Eton. Par un raccourci analogue, ne pourrait
21
des marchandises. De plus, en quelques années, la
Grande-Bretagne
, la Hollande et la France perdent leurs plus riches colonies d’Asie e
22
de la Sorbonne, Jean Sarrailh, l’ancien ministre
anglais
de l’Éducation Kenneth Lindsay, et l’ancien ministre belge Julius Hos
23
tein), d’Espagne (Aguado), de France (Plon) et de
Grande-Bretagne
(Weidenfeld & Nicolson), s’est réuni à Genève le 25 mai et a déci
24
s’inscrit dans les faits (en français, allemand,
anglais
, italien, grec, norvégien ; espagnol à l’étude). L’Europe et l’école
25
uropéennes (en français ; éditions ultérieures en
anglais
et en allemand). Marché commun et Euratom. — Questions et réponses.
26
leurs atouts ? S’il est vrai que les victoires
anglaises
ont été gagnées sur les pelouses d’Eton, il n’est pas moins certain q
27
s de poche, conçus selon le modèle du pocket book
anglais
et du paper back américain. Un seul chiffre suffit à l’illustrer : au
28
al. Je n’en sais pas de plus reliable comme dit l’
anglais
. Sa traduction en France surtout, mais aussi en Angleterre, en Italie
29
s. Sa traduction en France surtout, mais aussi en
Angleterre
, en Italie et en Espagne, rendrait un beau service à la cause de l’Eu
30
souvent à des traductions françaises d’un auteur
anglais
, ou allemandes d’un auteur hollandais, ou italiennes d’un auteur alle
31
re, Vauvenargues, Wieland, Herder —, plus tard en
Angleterre
— Newman, Matthew Arnold —, on se met à parler de la culture tout cou
32
de le préparer au service de la communauté ». En
Grande-Bretagne
enfin, point d’idéologie politique, de principes abstraits, de « sent
33
droits définis par la Loi. Tandis que l’empirisme
anglais
met l’accent sur le sens des responsabilités, dont la source est dans
34
des bribes. M’aidant de ses notes (592 pages, en
anglais
) et comblant quelques-unes des lacunes qui s’y trouvent à l’aide d’un
35
arie (avec une Polonaise) et décide bientôt que l’
Angleterre
, après tout, est non seulement le pays dont le style de vie lui convi
36
nais. Retinger obtient l’appui de quelques riches
Anglais
d’origine polonaise et du fameux ethnographe Malinowski. Il publie un
37
lle. Accompagnés de Joseph, les Conrad quittent l’
Angleterre
le 29 juillet, traversent Berlin le 31, regardés de travers par les p
38
travers par les passants qui les entendent parler
anglais
, et arrivent à Cracovie le 1er août, tandis que l’Autriche mobilise.
39
i demandent de gagner au plus vite la France et l’
Angleterre
, pour y représenter la cause de l’indépendance polonaise « sans aucun
40
il expose sa mission et ses plans. Mais c’est en
Angleterre
qu’il a décidé d’établir sa base d’opérations. Pendant qu’il attend l
41
litique, ni même de l’aide de ses compatriotes en
Angleterre
, généralement pauvres et non organisés. Seul, apatride, sans expérien
42
ifficile reste à faire : persuader les dirigeants
anglais
, étrangement ignorants des réalités de l’Est, que le fait polonais pe
43
— son action personnelle auprès des gouvernements
anglais
et français, attachant à la cause polonaise plusieurs ministres impor
44
Pologne (1917). Son Petit Manuel de la politique
anglaise
, publié à Paris sans nom d’auteur mais préfacé par Stephen Pichon (pl
45
tellane, conjuguée d’ailleurs avec celle d’un ami
anglais
de Boni, Arthur Capel (mort en 1919), qui avait lancé avant 1914 l’id
46
ente pour la première fois, avec le parlementaire
anglais
E. D. Morel — dont il épousera bientôt la fille — de créer une organi
47
le Mexique et la Pologne, séjournant beaucoup en
Angleterre
, il semble que J.H.R. ait vécu dans la misère, rançon de son extrême
48
ir engloutie dans le chaos de la débâcle de juin.
Anglais
et Polonais de Londres ont perdu sa trace. Retinger demande un avion
49
. L’avion militaire lourdement armé quitte le sol
anglais
le soir du 16 juin et atterrit à Bordeaux, où personne ne sait rien d
50
ien qu’à l’automne 1942, les forces polonaises en
Angleterre
totalisaient 150 000 hommes. Sikorski, attribuant à J.H.R. le mérite
51
ée, il importait que la Pologne, soutenue par les
Anglais
mais envahie par les Russes, ne devînt pas un obstacle à la conduite
52
rès-midi même, sur la piste préparée pour l’avion
anglais
. Cependant, l’opération ne pouvait être retardée. L’avion anglais par
53
nt, l’opération ne pouvait être retardée. L’avion
anglais
parut à l’heure prévue. Les passagers et les ballots de courrier fure
54
Pologne manquait si cruellement. Le gouvernement
anglais
fit preuve d’une exceptionnelle générosité, les hommes responsables d
55
millions de livres. La générosité du gouvernement
anglais
fut telle qu’il paya même les frais de transport, tandis que d’autres
56
de Varsovie, et qu’après que j’eus remis les dons
anglais
et quitté le Pologne, mes collaborateurs furent mis en prison par ord
57
premier assistant durant toute l’affaire des dons
anglais
, fut retenu à terre, à l’aérodrome de Varsovie, au moment où Retinger
58
el Debré, en Italie avec La Malfa et E. Falck, en
Angleterre
avec Sir Harold Butler, Harold Macmillan, Peter Thorneycroft et Edwar
59
istes, et par les partis socialistes de France, d’
Angleterre
et de Belgique, qu’effrayait la stature de Churchill, président d’hon
60
des présidents du parlement en Belgique, France,
Grande-Bretagne
, Hollande et Italie. Il transforme le Comité international des mouvem
61
andys du traité d’association entre la CECA et la
Grande-Bretagne
. Et ce n’est pas sans raison qu’il se trouvait être, en 1960, le seul
62
oins décisif, pas moins « instrumental », au sens
anglais
du mot, qui implique un élément créateur autant que réalisateur. Quel
63
e sa « politique » — j’entends sa policy, au sens
anglais
—- est ainsi définie par ses statuts : « contribuer à l’union de l’Eu
64
série d’études récentes faites en Amérique et en
Angleterre
sur les inventions techniques, que la plupart de ces inventions ne so
65
que le jeune soviétique de 7e année qui fait de l’
anglais
en sait davantage sur les littératures américaine et anglaise, que le
66
sait davantage sur les littératures américaine et
anglaise
, que le jeune américain du même degré et du même âge. Nous assistons
67
n compte au moins vingt instituts de ce genre, en
Grande-Bretagne
une quinzaine, aux États-Unis une trentaine. En Inde, quelques instit
68
Édition allemande : Scherz Verlag, Berne. Édition
anglaise
: The Bodley Head, Londres. Édition italienne : Bompiani, Milan. Édit
69
it dans les faits (éditions française, allemande,
anglaise
, grecque, norvégienne, 85 000 ex.) ; Neuf expériences d’éducation eur
70
Europe », publication du Conseil de l’Europe (en
anglais
et en français) 1963. bw. « Campagne pour l’Europe des citoyens », B
71
s uns comme M. Joseph Needham, le grand sinologue
anglais
(dans une longue lettre excusant son absence forcée de ce congrès, il
72
ilité et de la contestation (assent et dissent en
anglais
), de la conformité et du non-conformisme, — dialectique qui définit l
73
rope Je partirai de deux citations d’écrivains
anglais
contemporains : « Continuité dans les changements, unité dans la dive
74
millénaire avant notre ère jusqu’à la domination
anglaise
, tout ce qui s’écrit en Inde est poésie ou prose sacrée, religieuse,
75
, un troisième tamil, ne peuvent s’entendre qu’en
anglais
et Nehru leur parlait en anglais. Les Chinois recourent à l’échange m
76
s’entendre qu’en anglais et Nehru leur parlait en
anglais
. Les Chinois recourent à l’échange muet d’idéogrammes. D’où la possib
77
rences entre les romantiques allemands, français,
anglais
, ils se ressemblent davantage entre eux que chacun d’eux aux auteurs
78
ns ses Notes towards the Definition of Culture. L’
anglais
, selon lui, est la langue la plus riche pour un poète, parce qu’elle
79
wallon, catholique-laïque, libéral-socialiste. La
Grande-Bretagne
, par contraste, envisage sans trop de nervosité sa prochaine transfor
80
cutives et budgétaires composée de l’Écosse, de l’
Angleterre
, du pays de Galles, de l’Irlande du Nord et des îles de la Manche, bé
81
ler — sera vite suivi par les rois d’Espagne et d’
Angleterre
, puis par les princes de l’Italie, de l’Europe de l’Est et du Nord, q
82
édient désespéré (comme par exemple l’union de la
Grande-Bretagne
et de la France proposée par Churchill en juin 1940), autrement dit :
83
res grands États-nations anciens, l’Espagne et la
Grande-Bretagne
; des petits pays du Centre et du Nord, Suisse, Autriche, Scandinavie
84
tant qu’en France, et au surplus liée au sud de l’
Angleterre
. Or Lille n’est qu’un exemple entre bien d’autres. La Regio Basiliens
85
brimées par les États-nations (Belgique, Italie,
Grande-Bretagne
, Espagne, canton de Berne, mais aussi France avec ses Bretons, ses Ba
86
ns, ethnies ; elles sont du type France, Espagne,
Grande-Bretagne
, non du type Bretagne, Catalogne, pays de Galles ; elles sont donc de
87
e Paris et Bourges ; comté de Castille ; royaumes
anglais
unifiés par Egbert ; plus tard : Piémont, Prusse, Serbie, Bohême… 75
88
, sans déborder, de l’Hexagone français, de l’Île
anglaise
, de la Botte italienne, ou de la Peau de taureau ibérique. 92. « O
89
contraint les gouvernements de la France et de la
Grande-Bretagne
à stopper leur guerre, c’est-à-dire à rendre manifeste le fait que le
90
à Suisse et Italie, etc., jusqu’à « Normandie aux
Anglais
». On sait que de Gaulle n’a pas été suivi à l’occasion du référendum