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cation, dans toutes les langues latines, comme en
anglais
, vient d’educere, qui est « conduire au-dehors ». Donc libérer, non p
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vait contaminés : jeunes intellectuels éduqués en
Angleterre
, ou peuples de la côte du Malabar, très anciennement christianisés. P
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crétariats en Allemagne, en France, en Italie, en
Grande-Bretagne
, dans les deux Amériques, aux Indes et au Japon. Et le travail en pro
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disait au xviiie siècle, et mis, comme on dit en
anglais
, dans une coque de noix. Nos compositeurs auraient sans doute avantag
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et que la présence en Europe de quatre divisions
anglaises
rétablirait l’équilibre si gravement menacé par l’égalité proposée de
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L’Express. Le vrai danger vient des Allemands. Un
Anglais
prouve le premier point, un Français le second. La collaboration euro
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gie marxiste ont été les intellectuels éduqués en
Angleterre
et les populations très anciennement christianisées de la côte du Mal
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cipes ». Pour la Prusse, l’idée de l’État. Pour l’
Angleterre
, la maîtrise des mers. Pour la Russie, un messianisme despotique. Les
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our écrire la fin du second Faust fut l’ingénieur
anglais
W. A. Madocks, constructeur de digues sur la côte nord du pays de Gal
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ons d’espionnage pour le compte de l’impérialisme
anglais
ou américain, prodiguées par les procureurs de Staline. Mais il omet
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repris par Lesseps, violemment combattus par les
Anglais
, mollement soutenus par les Khédives, aboutiront en 1869. Mais le Khé
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sion, lui a coûté cher !), revend ses actions aux
Anglais
, champions de la politique moderne des océans. L’islam est au plus ba
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née ? Et c’est vous qui en avez décidé, vous les
Anglais
en sabotant Strasbourg, vous les Français en tuant la CED. Vous l’app
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mme esclaves dans les pays arabes. La France et l’
Angleterre
ont proposé un contrôle des bateaux qui emmènent ces malheureux à tra
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méricains (tout en gagnant des voix aux élections
anglaises
) reviendrait en effet à sacrifier l’union, que cent autres raisons no
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s craintes et les calculs des autres. Faire de la
Grande-Bretagne
et de la France isolées des pions sur l’échiquier américain, livrer l
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ls antiaméricains de Paris, d’Italie et parfois d’
Angleterre
: une Europe neutre entre le Coca-Cola et les camps de travail forcé
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ial-démocratie germanique et latine, travaillisme
anglais
et scandinave, nouvelle gauche parisienne, dissidences philosophiques
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s Italiens, des Allemands et des Scandinaves, des
Anglais
et des Suisses suivront. Quant aux jeunes des pays de l’Est, il est p
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ns ne disent pas mieux, ni la nouvelle génération
anglaise
, voir « Look back in anger », de M. John Osborne. Vous me parliez du
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— Non, car l’Europe ne peut pas se faire sans les
Anglais
. (Cas particulier du précédent.) Mais les Anglais n’accepteront jamai
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Anglais. (Cas particulier du précédent.) Mais les
Anglais
n’accepteront jamais d’entrer dans une Europe qui ne serait pas déjà
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seiller l’union de la France et de l’Allemagne, l’
Angleterre
n’étant pas nommée ni impliquée. Sensation dans la presse, mais aucun
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panella, Rabelais et H. G. Wells. La plupart sont
Anglais
, il faudrait voir pourquoi. Les Français inaugurent un genre nouveau
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on ou d’idéologie, à la française, non des partis
anglais
ou américains, dont l’origine, les buts et la fonction n’ont rien en
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jorités de gauche. Anglicane et presbytérienne en
Grande-Bretagne
, calviniste en Hollande, luthérienne dans les trois pays scandinaves,
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n passant par le romantisme allemand, français et
anglais
, on sait assez la fortune littéraire de cette forme d’amour interdit,
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ommagement ». (Combien l’URSS a-t-elle offert aux
Anglais
en remboursement de Pontecorvo ? Combien Hitler eut-il pu demander au
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éactions suivantes ont été enregistrées. Tous les
Anglais
ont honni la France parce qu’elle leur refusait quelque chose dont la
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ornait à tolérer en fait, dans le temps même où l’
Angleterre
le refusait, puis s’y opposait de toutes ses forces. En revanche, dès
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11 mai 1962, Paul Henri Spaak déclarait : « Si l’
Angleterre
entre au Marché commun, nous devons renoncer à l’Europe supranational
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l’Europe intégrée, je crois préférable d’avoir l’
Angleterre
avec nous »135. Ce qui revient en fait, sinon en intention, à sacrifi
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st là-dessus qu’il faut insister. La victoire des
Anglais
et des Cinq, le 29 janvier, risquait fort d’impliquer, on vient de le
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de sa rénovation. Post-scriptum pour mes amis
anglais
. Si, nonobstant l’analyse qu’on vient de lire, j’ai ressenti comme un
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uête menée par Encounter auprès des intellectuels
anglais
. Leur élan vers l’Europe va droit à notre cœur. Parlant de l’Europe c
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. » Il serait fou de douter un seul instant que l’
Angleterre
humaine, sensible, intelligente, qui parle ainsi, fait partie de l’Eu
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e saurait dire plus clairement que l’intérêt de l’
Angleterre
serait d’exciter toute mésentente possible entre les Six. De Gaulle a
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alie, de Belgique, de Hollande, de Danemark et de
Grande-Bretagne
, mais aussi d’Allemagne, d’Autriche et de plusieurs pays de l’Est. De
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is d’Europe », dont il retirait, mine de rien, la
Grande-Bretagne
et les Soviets, bienveillants témoins d’un mariage de raison entre la
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. Or, Sandys ayant exigé et obtenu que son comité
anglais
et le comité français aient chacun une voix, tout comme la Ligue écon
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en cas de rupture les fédéralistes hollandais et
anglais
: la mainmise de la droite libérale sur le congrès de La Haye, le féd
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t, puisqu’il y en avait là deux autres, d’auteurs
anglais
, pleins de mérites eux aussi… Je rappelais que la commission culturel
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hollandais, ce jeune ancien ministre conservateur
anglais
, les yeux bridés de Coudenhove, le sourire voltairien de Lord Layton,
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ieto, les boucles blanches de William Rappard, un
Anglais
plus anglais que nature : Charles Morgan, un archevêque qui représent
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cles blanches de William Rappard, un Anglais plus
anglais
que nature : Charles Morgan, un archevêque qui représente le Vatican,
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ui représente Canterbury, des députés socialistes
anglais
, un joyeux anarchiste italien, des ministres allemands aux lunettes s
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ant que le sénateur Kerstens lisait le Message en
anglais
: j’avais repris ma place à la tribune, juste derrière Churchill, qui
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ants de Montreux, accusée d’avoir trop cédé « aux
Anglais
», fut injustement désavouée, après des polémiques acerbes. Henri Fre
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est publiée ici pour la première fois. L’original
anglais
figure dans les archives du CEC à Genève. 158. « La tâche qui nous a