1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 cation, dans toutes les langues latines, comme en anglais , vient d’educere, qui est « conduire au-dehors ». Donc libérer, non p
2 vait contaminés : jeunes intellectuels éduqués en Angleterre , ou peuples de la côte du Malabar, très anciennement christianisés. P
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
3 crétariats en Allemagne, en France, en Italie, en Grande-Bretagne , dans les deux Amériques, aux Indes et au Japon. Et le travail en pro
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
4 disait au xviiie siècle, et mis, comme on dit en anglais , dans une coque de noix. Nos compositeurs auraient sans doute avantag
4 1954, Preuves, articles (1951–1968). Politique de la peur proclamée (novembre 1954)
5 et que la présence en Europe de quatre divisions anglaises rétablirait l’équilibre si gravement menacé par l’égalité proposée de
6 L’Express. Le vrai danger vient des Allemands. Un Anglais prouve le premier point, un Français le second. La collaboration euro
5 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
7 gie marxiste ont été les intellectuels éduqués en Angleterre et les populations très anciennement christianisées de la côte du Mal
8 cipes ». Pour la Prusse, l’idée de l’État. Pour l’ Angleterre , la maîtrise des mers. Pour la Russie, un messianisme despotique. Les
6 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
9 our écrire la fin du second Faust fut l’ingénieur anglais W. A. Madocks, constructeur de digues sur la côte nord du pays de Gal
7 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
10 ons d’espionnage pour le compte de l’impérialisme anglais ou américain, prodiguées par les procureurs de Staline. Mais il omet
8 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
11 repris par Lesseps, violemment combattus par les Anglais , mollement soutenus par les Khédives, aboutiront en 1869. Mais le Khé
12 sion, lui a coûté cher !), revend ses actions aux Anglais , champions de la politique moderne des océans. L’islam est au plus ba
9 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
13 née ? Et c’est vous qui en avez décidé, vous les Anglais en sabotant Strasbourg, vous les Français en tuant la CED. Vous l’app
14 mme esclaves dans les pays arabes. La France et l’ Angleterre ont proposé un contrôle des bateaux qui emmènent ces malheureux à tra
10 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
15 méricains (tout en gagnant des voix aux élections anglaises ) reviendrait en effet à sacrifier l’union, que cent autres raisons no
16 s craintes et les calculs des autres. Faire de la Grande-Bretagne et de la France isolées des pions sur l’échiquier américain, livrer l
17 ls antiaméricains de Paris, d’Italie et parfois d’ Angleterre  : une Europe neutre entre le Coca-Cola et les camps de travail forcé
11 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
18 ial-démocratie germanique et latine, travaillisme anglais et scandinave, nouvelle gauche parisienne, dissidences philosophiques
12 1957, Preuves, articles (1951–1968). Pourquoi je suis Européen (octobre 1957)
19 s Italiens, des Allemands et des Scandinaves, des Anglais et des Suisses suivront. Quant aux jeunes des pays de l’Est, il est p
13 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur un certain cynisme (septembre 1957)
20 ns ne disent pas mieux, ni la nouvelle génération anglaise , voir « Look back in anger », de M. John Osborne. Vous me parliez du
14 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
21 — Non, car l’Europe ne peut pas se faire sans les Anglais . (Cas particulier du précédent.) Mais les Anglais n’accepteront jamai
22 Anglais. (Cas particulier du précédent.) Mais les Anglais n’accepteront jamais d’entrer dans une Europe qui ne serait pas déjà
15 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la fabrication des nouvelles et des faits (février 1958)
23 seiller l’union de la France et de l’Allemagne, l’ Angleterre n’étant pas nommée ni impliquée. Sensation dans la presse, mais aucun
16 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
24 panella, Rabelais et H. G. Wells. La plupart sont Anglais , il faudrait voir pourquoi. Les Français inaugurent un genre nouveau
17 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
25 on ou d’idéologie, à la française, non des partis anglais ou américains, dont l’origine, les buts et la fonction n’ont rien en
18 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
26 jorités de gauche. Anglicane et presbytérienne en Grande-Bretagne , calviniste en Hollande, luthérienne dans les trois pays scandinaves,
19 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
27 n passant par le romantisme allemand, français et anglais , on sait assez la fortune littéraire de cette forme d’amour interdit,
20 1963, Preuves, articles (1951–1968). Le mur de Berlin vu par Esprit (février 1963)
28 ommagement ». (Combien l’URSS a-t-elle offert aux Anglais en remboursement de Pontecorvo ? Combien Hitler eut-il pu demander au
21 1963, Preuves, articles (1951–1968). Une journée des dupes et un nouveau départ (mars 1963)
29 éactions suivantes ont été enregistrées. Tous les Anglais ont honni la France parce qu’elle leur refusait quelque chose dont la
30 ornait à tolérer en fait, dans le temps même où l’ Angleterre le refusait, puis s’y opposait de toutes ses forces. En revanche, dès
31 11 mai 1962, Paul Henri Spaak déclarait : « Si l’ Angleterre entre au Marché commun, nous devons renoncer à l’Europe supranational
32 l’Europe intégrée, je crois préférable d’avoir l’ Angleterre avec nous »135. Ce qui revient en fait, sinon en intention, à sacrifi
33 st là-dessus qu’il faut insister. La victoire des Anglais et des Cinq, le 29 janvier, risquait fort d’impliquer, on vient de le
34 de sa rénovation.   Post-scriptum pour mes amis anglais . Si, nonobstant l’analyse qu’on vient de lire, j’ai ressenti comme un
35 uête menée par Encounter auprès des intellectuels anglais . Leur élan vers l’Europe va droit à notre cœur. Parlant de l’Europe c
36 . » Il serait fou de douter un seul instant que l’ Angleterre humaine, sensible, intelligente, qui parle ainsi, fait partie de l’Eu
37 e saurait dire plus clairement que l’intérêt de l’ Angleterre serait d’exciter toute mésentente possible entre les Six. De Gaulle a
22 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
38 alie, de Belgique, de Hollande, de Danemark et de Grande-Bretagne , mais aussi d’Allemagne, d’Autriche et de plusieurs pays de l’Est. De
39 is d’Europe », dont il retirait, mine de rien, la Grande-Bretagne et les Soviets, bienveillants témoins d’un mariage de raison entre la
40 . Or, Sandys ayant exigé et obtenu que son comité anglais et le comité français aient chacun une voix, tout comme la Ligue écon
41 en cas de rupture les fédéralistes hollandais et anglais  : la mainmise de la droite libérale sur le congrès de La Haye, le féd
42 t, puisqu’il y en avait là deux autres, d’auteurs anglais , pleins de mérites eux aussi… Je rappelais que la commission culturel
43 hollandais, ce jeune ancien ministre conservateur anglais , les yeux bridés de Coudenhove, le sourire voltairien de Lord Layton,
44 ieto, les boucles blanches de William Rappard, un Anglais plus anglais que nature : Charles Morgan, un archevêque qui représent
45 cles blanches de William Rappard, un Anglais plus anglais que nature : Charles Morgan, un archevêque qui représente le Vatican,
46 ui représente Canterbury, des députés socialistes anglais , un joyeux anarchiste italien, des ministres allemands aux lunettes s
47 ant que le sénateur Kerstens lisait le Message en anglais  : j’avais repris ma place à la tribune, juste derrière Churchill, qui
48 ants de Montreux, accusée d’avoir trop cédé « aux Anglais  », fut injustement désavouée, après des polémiques acerbes. Henri Fre
49 est publiée ici pour la première fois. L’original anglais figure dans les archives du CEC à Genève. 158. « La tâche qui nous a