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et socialistes du Nord, Scandinavie, Hollande et
Grande-Bretagne
. Parce qu’ils ont su devenir, en toute liberté, les plus sociaux, ils
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veau puissant d’un Allemand, qui la destinait aux
Anglais
. Est-ce à dire que nous ferons l’Europe contre les Russes ? C’est mal
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as de redire le mot de Bernard Shaw à propos de l’
Angleterre
et de l’Amérique : « Nous sommes séparés par un langage commun. » Et
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it et écrit, en Europe, que le parti travailliste
anglais
boycottait le congrès de La Haye. Et certains socialistes continentau
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hollandais, ce jeune ancien ministre conservateur
anglais
, les yeux bridés de Coudenhove, le sourire voltairien de Lord Layton,
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ieto, les boucles blanches de William Rappard, un
Anglais
plus anglais que nature : Charles Morgan, un archevêque qui représent
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cles blanches de William Rappard, un Anglais plus
anglais
que nature : Charles Morgan, un archevêque qui représente le Vatican,
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ui représente Canterbury, des députés socialistes
anglais
, un joyeux anarchiste italien, des ministres allemands aux lunettes s
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les conservateurs. C’était bien mal connaître les
Anglais
. Derrière les divergences souvent verbales entre unionistes et fédéra
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nti par la majorité des Insulaires. (Les délégués
anglais
répétaient à La Haye : Si nous votons ceci ou cela, que nous croyons
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sion. Pour que l’Europe se fasse, il faut que les
Anglais
acceptent de penser dans le cadre de l’Europe, et non plus en face d’
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inentaux, c’est l’Europe qui est en jeu. Pour les
Anglais
, c’est tout d’abord l’Empire, et l’union de l’Europe pourrait sauver
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tinentale au lendemain du congrès de La Haye. Aux
Anglais
de la corriger, si elle les choque. Ah ! Messieurs les Anglais ! J’ad
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corriger, si elle les choque. Ah ! Messieurs les
Anglais
! J’admire votre génie : vous ne tirez jamais les premiers6. Mais à L