1 1950, Lettres aux députés européens. Deuxième lettre
1 ce latin-là, même s’il est prononcé avec l’accent anglais . Vous allez me parler, je le sais bien, des grandes difficultés accum
2 1950, Lettres aux députés européens. Quatrième lettre
2 voit que ça n’est pas rouge, et que ça n’est pas anglais . Il distingue un ensemble de pays peu sûrs, qui d’une part ne font po
3 ndustries ; un seul pays qui ait su le faire : la Grande-Bretagne  ; et ce pays n’est pas européen. En effet, dit le pamphlet, nous les
4 pas européen. En effet, dit le pamphlet, nous les Anglais , nous sommes plus près des Dominions que de l’Europe, « par notre lan
5 raît claire, dans tout cela : les habitants de la Grande-Bretagne et leurs « parents de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande » (seuls
6 être envisagé que s’il n’affecte pas les intérêts anglais , et que si toute l’Europe se convertit à l’étatisme illimité. Ce qui
7 ome que la démocratie est identique au socialisme anglais . Il en découle primo : qu’une Assemblée sans majorité travailliste ne
3 1950, Lettres aux députés européens. Cinquième lettre
8 eront d’un « pas important vers l’union ». Et les Anglais jugeront qu’ils ne peuvent s’associer à ces engagements téméraires av