1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 ligieux, du Bouddha, de l’islam, mais non pas des Anglais … À l’Ouest, en revanche, l’ascension de l’Europe se confond avec les
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
2 uler clairement les principes qu’ils observent. L’ Angleterre met une coquetterie à n’avoir pas de Constitution écrite, ni de Décla
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
3 gie marxiste ont été les intellectuels éduqués en Angleterre et les populations très anciennement christianisées de la côte du Mal
4 cipes ». Pour la Prusse, l’idée de l’État. Pour l’ Angleterre , la maîtrise des mers. Pour la Russie, un messianisme despotique. Les
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
5 onnue en orient fut fondée au xixe siècle par un Anglais , Sir William Jones : la Société asiatique du Bengale. Et ce n’est guè
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
6 our écrire la fin du second Faust fut l’ingénieur anglais W. A. Madocks, constructeur de digues sur la côte nord du pays de Gal
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
7 lonialisme européen. Les Indes deviennent colonie anglaise en 1786 pour un siècle et demi seulement : c’est à peine 1/16e de l’h