1 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. I. Protohistoire d’un continent sans nom
1 t prend sa forme actuelle. Vers 6000 av. J.-C., l’ Angleterre s’en détache, et la Manche s’élargit, tandis que les isthmes et maréc
2 e bassin de la Seine, et s’aventure même jusqu’en Angleterre . Vers la fin du IIIe millénaire avant notre ère, la métallurgie et se
3 s, au ve siècle av. J.-C. Des Gaëls d’Irlande, d’ Angleterre et de Bretagne, en passant par les Gaulois, jusqu’aux Galates parvenu
2 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
4 la Gaule, la poitrine ; les bras, l’Italie et la Grande-Bretagne  ; le ventre, l’Allemagne ; la Bohême, le nombril ; et tout le reste d
5 pagne, pour cœur la France, pour bras et mains la Grande-Bretagne et l’Italie, l’une avec le globe, l’autre avec le sceptre ; une Vierg
3 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VIII. « Europa vel regnum Caroli »
6 Selon Bède le Vénérable (675-755), historien des Anglais et chroniqueur « Des six États du monde », l’Europe était essentielle
7 de l’Espagne, l’Italie s’y joignant plus tard. L’ Angleterre et la Scandinavie, notons-le, s’en voyaient dès cette date exclues pa