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qu’il n’existe, en Europe, que des Français, des
Anglais
, des Allemands, des Suisses, des Albanais, etc., et que les « Europée
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nte et future de l’Europe de William Penn, quaker
anglais
et fondateur d’un grand État américain, en 1692 ; à quoi s’ajouteront
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ments nationaux ». Il propose aux Français et aux
Anglais
de fusionner leurs politiques. Et il place le problème sur le plan «
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r-dessus les frontières, en France, en Suisse, en
Grande-Bretagne
et en Belgique, mais aussi en Allemagne déjà presque hitlérienne et m
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à l’union tous les peuples du continent (sauf les
Anglais
). On lui offrira la présidence. Et c’est ainsi que de la conjonction
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vait contaminés : jeunes intellectuels éduqués en
Angleterre
, ou peuples de la côte du Malabar, très anciennement christianisés. P
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etc. Or, les États-nations français, espagnol et
anglais
, qui insistent tant pour qu’on respecte leur « personnalité » synthét
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millénaire avant notre ère jusqu’à la domination
anglaise
, tout ce qui s’écrit en Inde est poésie ou prose sacrée, religieuse,
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n troisième le tamil, ne peuvent s’entendre qu’en
anglais
, et Nehru leur parlait en anglais. Les Chinois recourent à l’échange
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’entendre qu’en anglais, et Nehru leur parlait en
anglais
. Les Chinois recourent à l’échange muet d’idéogrammes dessinés sur la
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rences entre les romantiques allemands, français,
anglais
, ils se ressemblent davantage entre eux que chacun d’eux aux auteurs
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ns ses Notes towards the Definition of Culture. L’
anglais
, selon lui, est la langue la plus riche pour un poète, parce qu’elle
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n pour nous que leur existence même. Mais France,
Angleterre
, Russie… ce seraient aussi de beaux noms. Lusitania aussi est un beau
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ropéens. La Belgique est menacée d’éclatement. La
Grande-Bretagne
envisage sans fièvre sa mutation en une fédération d’autonomies admin
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nde du Nord, des îles de la Manche et des régions
anglaises
, bénéficiant d’institutions communes (comme les cantons suisses), sin
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ler — sera vite suivi par les rois d’Espagne et d’
Angleterre
, puis par les princes de l’Italie, de l’Europe de l’Est et du Nord, q
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édient désespéré (comme par exemple l’union de la
Grande-Bretagne
et de la France proposée par Churchill en juin 1940), autrement dit :
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res grands États-nations anciens, l’Espagne et la
Grande-Bretagne
; des petits pays du Centre et du Nord, Suisse, Autriche, Scandinavie
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tant qu’en France, et au surplus liée au sud de l’
Angleterre
. Or Lille n’est qu’un exemple entre bien d’autres. La Regio Basiliens
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, sans déborder, de l’Hexagone français, de l’Île
anglaise
, de la Botte italienne ou de la Peau de taureau ibérique. 56. Pass
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centre stato-national, alors, ce que les auteurs
anglais
nomment si bien la dévolution du pouvoir des capitales aux régions pa
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ns, ethnies ; elles sont du type France, Espagne,
Grande-Bretagne
, non du type Bretagne, Catalogne, pays de Galles ; elles sont donc de
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des six pays de la Communauté, avant même que la
Grande-Bretagne
n’ait sollicité son entrée, que « la conquête de l’Europe sera, n’en
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ent que la « conquête » du marché européen par la
Grande-Bretagne
serait un scandale, il faut l’empêcher d’entrer ; et si ce n’est pas
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rquoi parler de « conquête » dans le seul cas des
Anglais
, quand on appelle cela « remarquable expansion » s’il s’agit de la Fr
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hangé, pourquoi les élargir ? Et si les conquêtes
anglaises
ne sont pas en même temps les nôtres, pourquoi faire un marché commun