1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Préface à l’édition de 1956
1 on de 1956 C’est à la suggestion de mon éditeur anglais — qui par une chance dont je m’honore se trouve être T. S. Eliot — qu
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
2 génoise, pisane, picarde, champenoise, flamande, anglaise , etc.) était au préalable languedocienne, c’est-à-dire que le poète,
3 s sont perdus. Béroul était Normand, Thomas était Anglais . Et en retour, la légende de Tristan se répandit très largement dans
4 t, le catharisme s’est répandu de la Bulgarie à l’ Angleterre  ! Le nom apparaît cette année-là en Allemagne, deux ans plus tard en
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
5 t les béguards des Pays-Bas125, chez les lollards anglais , chez les premiers frères moraves (sinon chez les hussites), mais aus
6 ce fonds de légendes celtiques et la littérature anglaise populaire et savante. Mais il est significatif qu’à la fin du xviie
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
7 ennemie, lorsque l’occasion s’en présenterait. Un Anglais estimait un homme 480 livres sterling. C’est la plus forte évaluation
8 the flag, le commerce suit le drapeau, disent les Anglais . Ce fut la période coloniale, la dernière « paix » méritée par l’Euro
5 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
9 u’il n’est pas un poète, russe, allemand, danois, anglais , etc. qui ne doive son inspiration à la tradition littéraire et relig
10 Weil : « Quand ce pays eut été détruit, la poésie anglaise reprit la même note, et rien dans les langues modernes d’Europe n’a l
11 es reines ou impératrices : du Saint-Empire, de l’ Angleterre , de la Bourgogne. L’une de ses sœurs épouse le roi Pierre d’Aragon, l