1
on de 1956 C’est à la suggestion de mon éditeur
anglais
— qui par une chance dont je m’honore se trouve être T. S. Eliot — qu
2
génoise, pisane, picarde, champenoise, flamande,
anglaise
, etc.) était au préalable languedocienne, c’est-à-dire que le poète,
3
s sont perdus. Béroul était Normand, Thomas était
Anglais
. Et en retour, la légende de Tristan se répandit très largement dans
4
t, le catharisme s’est répandu de la Bulgarie à l’
Angleterre
! Le nom apparaît cette année-là en Allemagne, deux ans plus tard en
5
t les béguards des Pays-Bas125, chez les lollards
anglais
, chez les premiers frères moraves (sinon chez les hussites), mais aus
6
ce fonds de légendes celtiques et la littérature
anglaise
populaire et savante. Mais il est significatif qu’à la fin du xviie
7
ennemie, lorsque l’occasion s’en présenterait. Un
Anglais
estimait un homme 480 livres sterling. C’est la plus forte évaluation
8
the flag, le commerce suit le drapeau, disent les
Anglais
. Ce fut la période coloniale, la dernière « paix » méritée par l’Euro
9
u’il n’est pas un poète, russe, allemand, danois,
anglais
, etc. qui ne doive son inspiration à la tradition littéraire et relig
10
Weil : « Quand ce pays eut été détruit, la poésie
anglaise
reprit la même note, et rien dans les langues modernes d’Europe n’a l
11
es reines ou impératrices : du Saint-Empire, de l’
Angleterre
, de la Bourgogne. L’une de ses sœurs épouse le roi Pierre d’Aragon, l