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Suisse, de Belgique, d’Italie, d’Allemagne et de
Grande-Bretagne
, de 1974 à 1976 : Sur l’Europe en général : « L’Europe agonise » — «
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é avec l’afflux des Indiens et des Pakistanais en
Angleterre
, et avec l’immigration illégale des Mexicains aux USA, évaluée à 6 mi
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iel autour des années 1960, en ce qui concerne la
Grande-Bretagne
, la France, la Hollande et la Belgique. Le Portugal devait suivre un
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rément, disposent de ressources très inégales. La
Grande-Bretagne
a du charbon, du pétrole, du gaz naturel et de l’énergie nucléaire ;
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s de prospective conduites aux USA, au Canada, en
Grande-Bretagne
et en France font prévoir qu’un état de pénurie — c’est-à-dire d’épui
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le, que les surgénérateurs projetés en France, en
Grande-Bretagne
et en RFA puissent être construits. Mentionnons les principaux obstac
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attentats au plastic en Bretagne et en Corse ; en
Grande-Bretagne
, mouvement écossais et gallois exigeant une « dévolution » du pouvoir
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s l’État national (la castillane, la française, l’
anglaise
, la wallonne, la piémontaise et la lombarde, etc.), cette ethnie domi
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e de participation civique. D’autres régions tout
anglaises
se dessinent dans les Midlands, tout italiennes existent dans la Bott
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n catalan, la Provence, la Corse, l’Alsace ; — en
Grande-Bretagne
: l’Écosse, le pays de Galles, la Cornouaille, l’Irlande du Nord. 2°
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des régions, notamment en Italie, en Espagne, en
Grande-Bretagne
et en Belgique. (Voir Annexe 3.) Cette évolution apparaît comme le pr
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gion Europe : les potentiels sont de 1 (France et
Grande-Bretagne
) à 15 (URSS). b) La supériorité écrasante du pacte de Varsovie (impos
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a RFA, du Luxembourg, voire de la France ou de la
Grande-Bretagne
. 2.La crise Les auteurs militaires d’une compétence et d’une in
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erait avec la petite force nucléaire française et
anglaise
. Il semble bien qu’une force de frappe nationale ne puisse mener qu’à
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sse à un meeting tenu à Paris par une association
anglaise
pour la Paix.
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enne, voire tel canton suisse. C’est un début. En
Grande-Bretagne
, l’Écosse élit un nombre déjà imposant de députés autonomistes à la C
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passer par le relais londonien. Mais, disent les
Anglais
, « il serait ridicule d’avoir des assemblées pour les Écossais et pou
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sais et pour les Gallois, et non pour les régions
anglaises
». Ce qui situe le problème à son niveau réel : celui de la communaut