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deux. L’histoire nous montre la naissance dans la
Grèce
des cités autonomes, d’une Europe de la solidarité civique, de la mes
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a Mer », colonisent tout d’abord la Méditerranée,
Grèce
comprise, frayant les voies de la civilisation du Proche-Orient — et
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ité, et la coexistence féconde des contraires. La
Grèce
invente la cité (polis, d’où politique, dans toutes nos langues : Pol
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un rôle comparable à celui du clergé orthodoxe en
Grèce
occupée par les Turcs : mainteneur de l’identité nationale. Ici, le r
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a condition d’être des démocraties. Le jour où la
Grèce
, le Portugal et l’Espagne ont renvoyé, sans effusion de sang, leurs t
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es que compte l’Europe de l’Ouest — depuis que la
Grèce
, l’Espagne et le Portugal ont chassé leurs régimes fascistes sans fai
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ie, du Nord de l’Écosse à l’Asie Mineure, sauf la
Grèce
et l’Italie latine, où n’ont eu lieu que des raids de commando. Paul
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a réaction collective. La victoire de Rome sur la
Grèce
est la première victoire fatale de l’étatisme sur l’individualisme de
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ours. Et l’esprit périclite, faute de liberté. La
Grèce
individualiste a triomphé de la communauté barbare du sang. Mais plus